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Comment faire le plein moins cher sans polluer, grâce à l’huile de friture recyclée

Recyclée, d’origine végétale, bien moins polluante que le diesel tout en étant beaucoup moins cher... l’huile de récup’ n’a que des avantages. C’est ce qu’a bien compris l’association Roule ma frite sur l’île d’Oléron, qui collecte auprès des restaurateurs du coin des dizaines de milliers de litres d’huiles. Ceux-ci serviront ensuite à alimenter les réservoirs ou les chaudières des personnes en précarité énergétique. Tolérée par les autorités, cette « raffinerie » de proximité ne s’en heurte pas moins à un verrou fiscal. L’utilité des collecteurs de proximité sera-t-elle un jour officiellement reconnue ? Un reportage réalisé par notre partenaire L’âge de faire.

Par Fabien Ginisty (L’Âge de faire)

Les stations d’épuration par les plantes, une solution d’avenir pour traiter les eaux usées ?

Les stations d’épuration classiques, où s’accumulent des boues concentrant les polluants, ne sont pas les seuls systèmes à pouvoir être installés pour traiter les eaux usées. Des communes, mais aussi des particuliers, ont choisi de nettoyer leurs eaux grâce à des filtres plantés qui reproduisent les systèmes d’épuration naturels existant dans les zones humides : la phytoépuration. Bien qu’exigeante à mettre en œuvre, cette phytoépuration est souvent plus performante. Et favorise parfois une réduction des quantités d’eau consommées. Reportage.

Par Nolwenn Weiler

La consigne des bouteilles en verre, moins coûteuse et énergivore que le recyclage

Avec les fêtes, des centaines de milliers de bouteilles de vin, de bière ou de champagne vont se vider. Et chaque année, un Français consomme en moyenne près de 35 kg de bouteilles en verre. Or, bien qu’en grande partie réalisée à partir de verre recyclé, leur fabrication reste très énergivore. Depuis 2015, dans le Jura, le projet « J’aime mes bouteilles » cherche à relancer la pratique de la consigne, plus écologique que le recyclage, qui a disparu du paysage depuis une trentaine d’années. Son objectif : revaloriser les bouteilles de vin jurassien pour recréer une filière de réutilisation. Reportage.

Par Elodie Horn

Vivre au sein d’une famille zéro déchet : comment refuser l’inutile, recycler, composter

Terminées les poubelles qui débordent tous les deux jours : produire moins de cinq kilos de déchets par an, soit cent fois moins que la plupart des Français, est tout à fait possible. Et même avec des enfants. Une famille de la région nantaise réalise cette prouesse depuis quelques années. Sans frustrations et en mangeant bien. Leur secret ? Refuser l’inutile, réduire la quantité de ce que l’on possède et achète, réutiliser, recycler, composter, et quelques bons réflexes lors des courses. Récit de l’intérieur, en vidéo.

Par Laurent Guizard, Nolwenn Weiler

Grâce au recyclage, une association permet aux familles populaires d’acquérir un ordinateur pour 50 euros

En Essonne, un réseau de ressourceries récupère les objets en fin de vie pour leur offrir une seconde jeunesse et les remettre en circulation. « La fabrique à neuf » va plus loin : elle répare les ordinateurs pour les revendre à tout petit prix, propose des ateliers de couture et des contrats-aidés, transforme le design des objets pour leur donner une nouvelle utilité. Un ensemble d’activités à la confluence de l’action sociale et de l’écologie pratique, sur un territoire où chômage et pauvreté entretiennent habituellement les barrières. Basta! a rencontré ses animateurs.

Par Eros Sana

Bienvenue à La fabrique à neuf, la ressourcerie en Essonne qui redonne aussi une seconde vie à vos ordinateurs

En Essonne, un réseau de ressourceries récupère les objets en fin de vie pour leur offrir une seconde jeunesse et les remettre en circulation. « La fabrique à neuf » va plus loin : elle répare les ordinateurs pour les revendre à tout petit prix, propose des ateliers de couture et des contrats-aidés, transforme le design des objets pour leur donner une nouvelle utilité. Un ensemble d’activités à la confluence de l’action sociale et de l’écologie pratique, sur un territoire où chômage et pauvreté entretiennent habituellement les barrières. Basta! a rencontré ses animateurs.

Par Eros Sana

Vivre au sein d’une famille zéro déchet : un nouveau luxe pas si contraignant

Terminées les poubelles qui débordent tous les deux jours : produire moins de cinq kilos de déchets par an, soit cent fois moins que la plupart des Français, est tout à fait possible. Et même avec des enfants. Une famille de la région nantaise réalise cette prouesse depuis quelques années. Sans frustrations et en mangeant bien. Leur secret ? Refuser l’inutile, réduire la quantité de ce que l’on possède et achète, réutiliser, recycler, composter, et quelques bons réflexes lors des courses. Récit de l’intérieur.

Par Nolwenn Weiler

Economie partagée

Déménager autrement, avec des cartons recyclés et solidaires

Dans une petite rue tranquille du nord de Paris, l’association Carton plein collecte des cartons usagés pour les nettoyer et les revendre. Livrés à vélo, ces cartons recyclés sont utilisés pour les déménagements. Une manière de lutter contre le gaspillage, tout en permettant à des personnes en grande précarité de reprendre contact avec le monde du travail. Reportage sur un projet qui tente de concilier exigences écologiques et sociales.

Par Nolwenn Weiler

Quand les mégots deviennent une nouvelle matière première

La capitale a déclaré la guerre aux mégots, et communique allègrement sur ces 350 tonnes de déchets générés par les fumeurs, qu’il faut ramasser chaque année. Les résidus de cigarettes, quand ils ne finissent pas dans les stations d’épuration, partent à l’incinérateur. Une alternative existe pourtant : ils peuvent être collectés pour être recyclés et valorisés. Problème : aucune usine de transformation des filtres en plastique n’existe encore en France.

Par Claire Merrien

Comment faire le plein moins cher sans polluer, grâce à l’huile de friture recyclée

Recyclée, d’origine végétale, bien moins polluante que le diesel tout en étant beaucoup moins cher... l’huile de récup’ n’a que des avantages. C’est ce qu’a bien compris l’association Roule ma frite sur l’île d’Oléron, qui collecte auprès des restaurateurs du coin des dizaines de milliers de litres d’huiles. Ceux-ci serviront ensuite à alimenter les réservoirs ou les chaudières des personnes en précarité énergétique. Tolérée par les autorités, cette « raffinerie » de proximité ne s’en heurte pas moins à un verrou fiscal. L’utilité des collecteurs de proximité sera-t-elle un jour officiellement reconnue ? Un reportage réalisé par notre partenaire L’âge de faire.

Par Fabien Ginisty (L’Âge de faire)

Les stations d’épuration par les plantes, une solution d’avenir pour traiter les eaux usées ?

Les stations d’épuration classiques, où s’accumulent des boues concentrant les polluants, ne sont pas les seuls systèmes à pouvoir être installés pour traiter les eaux usées. Des communes, mais aussi des particuliers, ont choisi de nettoyer leurs eaux grâce à des filtres plantés qui reproduisent les systèmes d’épuration naturels existant dans les zones humides : la phytoépuration. Bien qu’exigeante à mettre en œuvre, cette phytoépuration est souvent plus performante. Et favorise parfois une réduction des quantités d’eau consommées. Reportage.

Par Nolwenn Weiler

La consigne des bouteilles en verre, moins coûteuse et énergivore que le recyclage

Avec les fêtes, des centaines de milliers de bouteilles de vin, de bière ou de champagne vont se vider. Et chaque année, un Français consomme en moyenne près de 35 kg de bouteilles en verre. Or, bien qu’en grande partie réalisée à partir de verre recyclé, leur fabrication reste très énergivore. Depuis 2015, dans le Jura, le projet « J’aime mes bouteilles » cherche à relancer la pratique de la consigne, plus écologique que le recyclage, qui a disparu du paysage depuis une trentaine d’années. Son objectif : revaloriser les bouteilles de vin jurassien pour recréer une filière de réutilisation. Reportage.

Par Elodie Horn

Vivre au sein d’une famille zéro déchet : comment refuser l’inutile, recycler, composter

Terminées les poubelles qui débordent tous les deux jours : produire moins de cinq kilos de déchets par an, soit cent fois moins que la plupart des Français, est tout à fait possible. Et même avec des enfants. Une famille de la région nantaise réalise cette prouesse depuis quelques années. Sans frustrations et en mangeant bien. Leur secret ? Refuser l’inutile, réduire la quantité de ce que l’on possède et achète, réutiliser, recycler, composter, et quelques bons réflexes lors des courses. Récit de l’intérieur, en vidéo.

Par Laurent Guizard, Nolwenn Weiler

Grâce au recyclage, une association permet aux familles populaires d’acquérir un ordinateur pour 50 euros

En Essonne, un réseau de ressourceries récupère les objets en fin de vie pour leur offrir une seconde jeunesse et les remettre en circulation. « La fabrique à neuf » va plus loin : elle répare les ordinateurs pour les revendre à tout petit prix, propose des ateliers de couture et des contrats-aidés, transforme le design des objets pour leur donner une nouvelle utilité. Un ensemble d’activités à la confluence de l’action sociale et de l’écologie pratique, sur un territoire où chômage et pauvreté entretiennent habituellement les barrières. Basta! a rencontré ses animateurs.

Par Eros Sana

Bienvenue à La fabrique à neuf, la ressourcerie en Essonne qui redonne aussi une seconde vie à vos ordinateurs

En Essonne, un réseau de ressourceries récupère les objets en fin de vie pour leur offrir une seconde jeunesse et les remettre en circulation. « La fabrique à neuf » va plus loin : elle répare les ordinateurs pour les revendre à tout petit prix, propose des ateliers de couture et des contrats-aidés, transforme le design des objets pour leur donner une nouvelle utilité. Un ensemble d’activités à la confluence de l’action sociale et de l’écologie pratique, sur un territoire où chômage et pauvreté entretiennent habituellement les barrières. Basta! a rencontré ses animateurs.

Par Eros Sana

Vivre au sein d’une famille zéro déchet : un nouveau luxe pas si contraignant

Terminées les poubelles qui débordent tous les deux jours : produire moins de cinq kilos de déchets par an, soit cent fois moins que la plupart des Français, est tout à fait possible. Et même avec des enfants. Une famille de la région nantaise réalise cette prouesse depuis quelques années. Sans frustrations et en mangeant bien. Leur secret ? Refuser l’inutile, réduire la quantité de ce que l’on possède et achète, réutiliser, recycler, composter, et quelques bons réflexes lors des courses. Récit de l’intérieur.

Par Nolwenn Weiler

Economie partagée

Déménager autrement, avec des cartons recyclés et solidaires

Dans une petite rue tranquille du nord de Paris, l’association Carton plein collecte des cartons usagés pour les nettoyer et les revendre. Livrés à vélo, ces cartons recyclés sont utilisés pour les déménagements. Une manière de lutter contre le gaspillage, tout en permettant à des personnes en grande précarité de reprendre contact avec le monde du travail. Reportage sur un projet qui tente de concilier exigences écologiques et sociales.

Par Nolwenn Weiler

Quand les mégots deviennent une nouvelle matière première

La capitale a déclaré la guerre aux mégots, et communique allègrement sur ces 350 tonnes de déchets générés par les fumeurs, qu’il faut ramasser chaque année. Les résidus de cigarettes, quand ils ne finissent pas dans les stations d’épuration, partent à l’incinérateur. Une alternative existe pourtant : ils peuvent être collectés pour être recyclés et valorisés. Problème : aucune usine de transformation des filtres en plastique n’existe encore en France.

Par Claire Merrien