« Basta! : un outil pour celles et ceux qui veulent encore un autre monde »

Journalistes, militants associatifs et syndicaux, artistes, chercheurs, scientifiques : ils ont adressé des messages de soutien à Basta!.

  • Paul Moreira, journaliste, créateur de l’agence de presse Premières Lignes, auteur de nombreuses enquêtes et documentaires audiovisuels, coproducteur de l’émission Cash Investigation

    « Je visite souvent le site de Basta. Il est engagé mais ses partis pris ne grèvent jamais le sérieux de ses enquêtes. Des faits vérifiés, pas de théories du complot, un rôle d’alerte indispensable. C’est du très bon journalisme, avec des angles originaux et inspirants. Continuez. »

  • Aurélie Trouvé, porte-parole d’Attac

    « Basta! : un titre en écho au cri des zapatistes… Un contenu qui s’inscrit dans la nécessité de penser ensemble les enjeux sociaux et les défis écologiques. Des articles qui nous font comprendre les enjeux internationaux tout en prenant appui sur les luttes locales, ici et là-bas. Des reportages qui donnent à voir les expérimentations et les alternatives… Alors oui, il faut soutenir Basta : il est un outil pour ceux et celles qui veulent encore un « autre monde » ! »

  • David Dufresne, journaliste, réalisateur de Prison Valley et de Fort McMoney

    « Du journalisme en marge qui devrait être la norme. Indépendant, profond, pas consensuel, fait d’enquête et de rigueur. Basta! Et voilà tout. »

  • La Parisienne Libérée, Chroniqueuse-chanteuse

    « Je lis Basta! depuis plusieurs années, dans le cadre de la documentation que j’effectue pour l’écriture de mes chroniques chantées. J’y trouve très régulièrement des textes originaux et indépendants, en particulier sur les questions sociales et environnementales - mais aussi sur des sujets politiques ou internationaux.

    Chacun peut s’y promener selon ses affinités. En ce qui me concerne, j’apprécie les synthèses percutantes, comme celles sur les arguments climato-sceptiques. J’aime aussi lire des points de vue engagés et documentés comme dans l’article sur la réforme bancaire ou sur la surveillance des mouvements écologistes et anticapitalistes.

    Les explications détaillées sur la restructuration des quartiers de Rio m’ont par exemple été très précieuses pour comprendre la crise sociale et politique qu’a traversée le Brésil en juin dernier. Lieu d’expression des paroles militantes, résistantes, Basta! doit pouvoir continuer à publier et se défendre dans des procédure comme celles qui opposent actuellement plusieurs de ses journalistes au groupe Bolloré - soutenons Basta! »

  • Jean Gadrey, économiste

    « J’apprécie et je lis régulièrement les articles, reportages et entretiens de l’un des rares médias indépendants exerçant une fonction critique délaissée depuis longtemps par les "nouveaux chiens de garde" de l’information qui réservent leurs aboiements aux mouvements de résistance populaire, écologiques et sociaux, et naviguent avec bonheur dans les réseaux du monde des affaires qui les tient en laisse. Continuez ! Je participerai à la campagne d’abonnements, en m’abonnant moi-même avec conviction. »

  • Will Potter, journaliste (Chicago Tribune, Lega Affairs)

    « Basta! tells the stories that the mainstream media too frequently ignores. It represents the best of independent media : critical, honest, and passionate journalism. If you care about social justice, please support this vital work. »

  • Annick Coupé, syndicaliste

    « Pourquoi Basta ? Parce que c’est un journal complètement indépendant, libre d’accès et qui a pourtant réussi à produire des reportages et des analyses de très grande qualité sur des sujets essentiels de l’actualité. Parce que j’y trouve des points de vue originaux, sur des questions non ou peu traitées ailleurs - je pense par exemple aux questions environnementales, agricoles et alimentaires. Parce qu’il allie impertinence et rigueur des propos. Parce que son Observatoire des Multinationales sera un premier du genre. Et parce qu’il met en avant des alternatives concrètes et des pensées critiques qui dessinent un autre monde possible et redonnent de l’espoir dans une ambiance sociale bien morose. Merci Basta et vive Basta! »

  • Gustave Massiah, économiste, membre du conseil international du Forum social mondial

    « Basta et une des plus belles initiatives de cette dernière période et son succès d’écoute donne de l’optimisme. Basta transmet l’écho des mobilisations des places publiques, de Tunis et du Caire, de Madrid, à New-York et à Montréal, de Santiago à Istanbul et Rio. Et de tant d’autres à venir. Basta concrétise les aspirations et les formes d’engagement des mouvements de la nouvelle période. Basta contribue à la réinvention du politique en cherchant l’articulation entre le social, contre les inégalités et la corruption, l’écologique dans tous ses questionnements, la culture et les libertés démocratiques, le refus des dominations et l’écoute du chamboulement du monde.

    Basta définit une culture de l’information (décrypter, résister, inventer, débattre)
    qui combine la résistance à partir de la parole des mouvements, l’élaboration à partir de l’expertise citoyenne, l’attention constante aux pratiques nouvelles. Basta multiplie les initiatives avec l’observatoire des multinationales, le site urbain basta-aitec, l’actualité des mouvements sociaux... Voilà quelques raisons pour lesquelles j’aime et je soutiens Basta. Voilà aussi pourquoi le refus du conformisme rend Basta fragile. Et pourquoi il faut le soutenir. »

  • Denis Robert, journaliste, fondateur du média Blast, auteur de l’enquête sur Clearstream

    « J’adore le site Bastamag. D’abord parce que je suis Italien et de gauche, donc je sais ce que basta veut dire. Ensuite et surtout parce que c’est un site bien fait, vif et varié. J’y trouve souvent des angles, des informations et un regard que je ne trouve pas ailleurs. J’ai enfin le souvenir que Bastamag était dans les premiers médias à me soutenir dans ce vieux combat contre Clearstream et les caciques de la presse mainstream. Longue vie à Basta. »

  • William Sacher, universitaire canadien et auteur

    « Le "raz-le-bol" qu’exprime le nom de Basta!, c’est aussi celui de la désinformation que nous font subir les médias dominants. Basta! mérite tous nos encouragements pour que continue à vivre son journalisme critique, indépendant, engagé, et de qualité. »

  • Susan Georges, écrivaine franco-américaine, membre du Transnational Institute

    « Basta! creuse et retourne la terre là où d’autres laissent en friche. Basta! éclaire les coins que d’autres laissent dans l’ombre. Basta! s’interroge et doute là ou règne une confiance béate, tant appréciée des autorités. Trois raisons—parmi tant d’autres—de lire et de soutenir Basta. »

  • François Gèze, les éditions La Découverte.

    « Si Basta! n’existait pas, il faudrait l’inventer ! Heureusement que ses promoteurs l’ont fait. Unique sur le Web francophone, ce site d’information nous offre quotidiennement (ou presque) les informations inédites dont nous avons toutes et tous besoin pour comprendre les vrais enjeux de ce monde en folie. Et pour agir ici et maintenant, localement et globalement, afin d’en construire un autre pour nous, nos enfants et nos petits-enfants. Petit geste pour un grand dessein : mettre la main au portefeuille pour faire vivre celles et ceux qui font Basta! »

  • Denis Clerc, économiste, fondateur d’Alternatives Economiques

    « Il y a ceux qui s’intéressent à l’argent, aux montres Rolex, aux retraites chapeau. Et ceux qui s’intéressent à la vie des gens, à leurs difficultés et à leurs efforts pour bâtir une société meilleure.
    Il y a ceux qui paradent sur la scène, et ceux qui découvrent l’envers du décor.
    Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les premiers appauvrissent la société, en la réduisant à l’argent, les seconds – comme Basta - l’enrichissent, en connaissance et en lien social. »

  • Geneviève Azam, économiste

    « Nous n’avons plus de temps à perdre ! Nous avons besoin d’une presse indépendante, qui raconte les histoires des luttes, des nouveaux espaces de résistance, des nouveaux mouvements sociaux, qui donne la parole aux soi-disant « perdants », et qui confronte les analyses. Nous voulons retrouver le sens du journalisme, le souci de la qualité ? Alors soutenons Basta! »

  • Germain Sahry, responsable du Village Emmaüs Lescar-Pau.

    « Il est plus que nécessaire de soutenir des projets émergents qui se distinguent par leur totale indépendance. Nous, qui expérimentons de nouveaux paradigmes, nous comptons sur une presse non soumise aux lobbys. La révolution contre le modèle néolibéral ne peut vivre que si elle est relayée en toute sincérité. Basta! est un de ces outils d’information qui portent des valeurs fortes en plaçant l’homme et la nature au centre de ses préoccupations. C’est à nous de choisir la qualité de l’information que nous voulons ! »

  • Christophe Bonneuil, chercheur au CNRS.

    « Bastamag est un site d’information particulièrement précieux pour moi concernant les politiques et les enjeux socio-écologiques mondiaux. Climat, biodiversité, eau, offensives de privatisation et financiarisation des ressources et de la nature, Basta! apporte sur ces sujets les articles les plus informés, les analyses les plus solides. »

  • Valérie Cabanes, juriste en Droit International

    « Plus les enjeux sont graves, plus nous cherchons à responsabiliser les grands acteurs économiques sur les conséquences planétaires d’un système industriel destructeur, moins nous ne trouvons d’écho dans les grands médias français... Étrange, n’est-ce pas ? Fort heureusement une presse indépendante tente de survivre dans cette jungle médiatique asservie ; mais elle ne saura donner la parole aux citoyens que si ceux-ci la soutiennent. Que Vive Basta! pour que la société civile puisse être informée et dynamisée dans sa quête de justice et d’harmonie. »

  • Thomas Coutrot, économiste

    Basta est en train de devenir l’outil de référence de toutes celles et ceux pour qui la transformation sociale ne se fera pas sans transition écologique, et vice versa. Beaucoup de papiers de Basta sont des cailloux dans les chaussures des multinationales – Bolloré en témoigne, qui va jusqu’à leur faire un procès en diffamation ! De nombreux autres sont des graines pour faire germer chez les lecteurs des idées de pratiques alternatives, en racontant ces expériences avec empathie mais sans complaisance. Continuez, on vous suit !

  • Philippe Borrel, journaliste, réalisateur

    Basta! Parce qu’il est urgent de changer de paradigme... en faisant connaitre les milliers d’alternatives concrètes qui essaiment aux quatre coins de la planète.
    Basta! Parce qu’une information libre à la marge du modèle dominant contribue à (r)éveiller les consciences pour faire naître dès aujourd’hui le monde plus humain de demain.

  • Jacques Rosselin, créateur de Courrier International, ancien directeur de la rédaction de La Tribune

    « Basta! est pour moi une lecture indispensable. Je suis abonné à son flux ainsi qu’à ses alertes mail et Twitter et le rediffuse systématiquement sur les réseaux sociaux. Basta!, une des rares sources d’information de qualité à gauche, est la preuve qu’une autre information peut se développer sur le Net. Reste que pour les médias différents, ceux qui ne tombent pas dans l’ornière de la compromission, de la facilité et de la pensée conforme, l’équation économique reste toujours très difficile à résoudre, malgré une audience fidèle et grandissante. »

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