« Mourir pour des idées, c’est une chose, mais c’est quand même relativement stupide et bête. » Dixit Thierry Carcenac (PS), président du Conseil général du Tarn, après la mort de Rémi Fraisse le 26 octobre sur le chantier du barrage de Sivens. Consterné, le Vice-président de la Région Poitou-Charentes, Benoît Biteau (PRG), lui répond, et revient sur les motivations profondes qui ont amené des milliers de citoyens à se mobiliser contre ce projet. Il invite Thierry Carcenac à utiliser l’argent public, non pas pour aggraver la pollution et la raréfaction de l’eau, mais pour soutenir une alternative agricole vertueuse.
Par
Benoît Biteau