Privés de petits boulots ou de stages, donc de revenus complémentaires, sans accès aux restaurants universitaires, fermés, sans cadre d’études correct avec la fermeture des universités, nombre d’étudiants cumulent les difficultés et basculent dans une très grande précarité, alimentaire notamment. Les syndicats étudiants lancent l’alerte et tentent de pallier l’absence d’aide d’urgence.
Par
Solani Bourébi