« La cause des pères : une stratégie pour faire passer une idéologie misogyne » - commentaires

« La cause des pères : une stratégie pour faire passer une idéologie misogyne »

Patric Jean est un journaleux qui ne peut que rappeler Thierry Meyssan. Parler de « masculinisme » dans le cadre des « affaires » dites « familiales », relève non seulement de l'imposture, mais masque surtout la réalité, à savoir la destruction judiciairement assistée des « familles » dans l'unique intérêt (supérieur) du porte monnaie des « auxiliaires » que l'ajustice engraisse : avocrasserie divorciste, charlatans de l'enquête sociale et de l'expertise psychodéconnologique. Accessoirement, contester que les « mères » soient privilégiées en « justice » en général relève de la pure mauvaise foi. comme relève de la mauvaise foi la propagande ouvertement misandre du prétendu « féminisme » actuel qui, dans ses dérives, visent l'instauration d'une gynarchie, falsification de chiffres, mensonges et impostures de toutes sortes à l'appui. Le tout financé sur les deniers publics. Patric Jean évoque un « puissant lobby masculiniste » : c'est sans doute lui qui a réinstauré le scandaleux « ministère » « des droits des femmes »...

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Ce n'est pas suffisamment dur pour des pères de ne pas pouvoir voir grandir leurs enfants (une situation qui ferait péter les plombs n'importe qui car on touche là à quelque chose d'essentiel), il leur faut savoir aussi que leur désir paternel est inspiré par la pire des misogynies, du paternalisme archaïque et d'un patriarcat réactionnaire.
L'argument massue de P. Jean : tout va bien en France, les pères n'ont pas raison de se plaindre, puisqu'au Québec et en Belgique le système fonctionne bien. Cherchez l'erreur.

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Évidemment qu'il y a des pères qui savent se gérer, mais ce n'est pas le sujet ; il n'y a que les masculinistes pour faire l'amalgame, avec leur vision binaire du monde.

Toujours le même discours venu des masculinistes (qui hantent les commentaires d'articles) : les papas sont tous des victimes de leurs femmes (à se demander comment ils en arrivent à avoir un pareil discours envers une personne qui leur a été intime pendant des années), de la justice (elles ont toutes le droit de garde), de la société (les aides qui vont aux mamans qui ont la garde), ils sont incompris, ils sont gentils finalement et demandent « juste » l'équité. Leur équité plutôt...
Ah oui, et le complot méchant qui vise à dire que les masculinistes français sont apparentés aux masculinistes d'Amérique du nord serait infondé.

Il faut leur tenir tête, ils veulent un renouveau de la domination masculine, faut pas leur laisser l'espace de s'exprimer sans leur répondre.

Ces quelques mâles qui demandent à ce qu'on les prennent, eux et leurs lubies, en considération font leur chant du cygne finalement, autant mettre fin à leur agonie.

Quant aux critiques concernant Patric Jean, c'est comme le reste de leurs propos : des sornettes !

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Il ya peut être, ou peut être pas du bien fondé sur le sujet de fond de cet article. Je ne sais pas, par contre ce que je sais avec certitude c'est ceci : La loi française privilégie aujourd'hui les mères, c'est dans l'esprit de la loi telle qu'elle existe aujourd'hui. Dans cette loi les pères n'ont qu'un seul rôle parental prévu : celui du portefeuille ! Ce n'est pas moi qui le dit, c'est la loi qui le dit. Certes cette esprit de la loi, quant elle à été votée, était de contrebalancer la version précédente qui était au contraire uniquement en faveur du père tout puissant.
Mais aujourd'hui, dans une époque ou les pères essayent d'assumer pleinement leur rôle (une des conséquences heureuses des combats pour l'égalité des sexes) il serait bon que la loi puisse le permettre. Car le problème est bien la loi, et non les magistrats (du moins pas toujours). Mon cas particulier est malheureusement un classique : Une mère avec un profil psychologique incompatible avec l'exercice de la parenté, dont l'objectif de sa vie est de détruire le père de ses enfants et ce à tout prix. Sa seule identité sociale est d'être victime du père. Sauf que les faits contredisent cette mythomanie. Il à fallu plusieurs jugements et des fait graves, attestés par l'ensemble de l'entourage (professeurs, amis, familles de chaque côté, gendarmes puis psychologues) pour que la cour délivre un jugement en ma faveur. Mais là encore la loi fait défaut : actuellement en défaut de présentation des enfants, depuis 2 ans, avec un très fort absenteisme scolaire du cadet, la mère n'est toujours pas poursuivi par l'état. Le proc mets la balle dans mon camp : portez plainte à répétition jusqu'à ce que un juge la fasse emprisonner, la DDASS sera saisie .... et il y a de fortes chances que la DDASS ne me confie pas les enfants mais les place en famille d'accueil ... c'est ubuesque, c'est kafkaïen à souhait. Le proc, les avocats, les 2 Juges, les psys scolaires et CMPP, les associations de défense des pères, mais aussi des assos de mamans .... tout le monde fait le constat : non seulement la loi est absurde, non seulement elle fait souvent plus de mal que de bien mais en plus le système est cassée, elle n a plus les moyens pour travailler alors c'est juste encore pire, et pour certains pères la situation devient insupportable. Et nous n'avons pas encore parlé des enfants, car ce sont bien eux dont il s'agit, ce sont eux les vrais victimes qui devront reconstruire leur identité.
Nolwen, vous nous aviez habitué à mieux, faites vos enquêtes jusqu'au bout svp. Vous aurez découvert qu'il y a un consensus en France sur ce sujet.

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Il est assez affligeant de trouver ici Patric Jean, cinéaste raté, présenté comme un spécialiste du combat des pères. Le pauvre n'a vraiment rien à dire sur la question. Le seul sujet qu'il ait jamais été capable de traiter (et encore avec quelle confusion !) est le présumé complot masculiniste international : c'est son gagne-pain et il est capable d'inventer n'importe quoi pour lui donner une consistance.

Si vous voulez informer sur le sujet, allez voir une des 20 associations de pères françaises : eux ils connaissent le sujet, ils vous diront ce qui se passe.

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avant d'écrire un tel article, il faut que certaines personnes se renseignent un peu mieux... Il y a beaucoup de bla bla dans cet article... de choses non vérifiées... vous parlez de violences conjugales sans jamais parler de la violence des femmes sur leurs enfants ou sur leurs conjoints, vous faites passer les pères pour des gens indignes... Quelle honte cet article
Les hommes ne sont pas tous des enfoirés incapable de s'occuper de leurs enfants... Un homme qui refuse la garde alternée !!!
les juges décident de donner la garde au maman puisque souvent elles n'ont pas les mêmes salaires, elles ont un travail à mi temps ou temps partiel... La CAF va leur verser les prestations à elle vu leur salaire... Ensuite aux parents d'être intelligents afin de se partager cette somme puisque un seul parent a droit aux prestations sociales... Article vraiment très mal écrit

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Parfum d'homme
http://www.lejournaldepersonne.com/2013/02/parfum-dhomme/
Le Masculiniste, l'hoministe et le machiste
Non vous n'avez pas rêvé, il s'agit bien de l'intitulé d'un film franco-canadien avec un accent belge et un sous-titre italien : le bon, la brute et le truand...
Trois tyrans pour le prix d'un péplum : Hercule, Samson et Maciste.

Oui il y a du ressentiment dans l'air du temps.
Un désir de retour, un retour du désir à plus de virilité.
Nos sociétés plus féminines ou plus féministes ont castré le mâle qui semble reprendre du poil de la bête en se lançant à l'assaut du ciel des valeurs.
On ne va tout de même pas faire un procès d'intention à quelqu'un qui appelle au secours. Ou qui réclame notre concours à nous les femmes.
Non, je fais de l'humour... parce que je ne suis pas féministe.
Je suis femme... je ne peux pas être l'une sans me moquer de l'autre.
Et, en tant que femme, je fais de mon mieux pour comprendre ce que cherche l'homme avec cette triple digression.

A- le Machiste
C'est le moins éloquent et le moins apte à nous faire la leçon.
Et même si on en doute, de sa virilité, il n'en a jamais douté.
Quand il se rend à un rendez-vous avec une femme, il prend toujours son fouet... et s'il ne sait pas pourquoi il la bat, elle, elle le sait.
Ce n'est pas très catholique mais c'est phallocratique.
Logique d'une conscience malheureuse de n'être que ce qu'elle est.
D'où son désir d'affirmer sa supériorité
C'est le bas de gamme du sexisme. Des muscles et point de cervelle.

B- l'hoministe
C'est la deuxième version qui sent le renfermé des âmes soit disant bien nées. C'est le rat de bibliothèque... qui ne crie pas pour parler de son sexe mais il écrit des livres ou lit tout qui s'écrit là-dessus. Homo homini deus : l'homme est un Dieu pour l'homme... Non, il ne s'agit pas de l'homme générique mais du genre masculin.... du mâle par opposition au bien...
Non, je rigole... du mâle par opposition à la femelle.
Que nous dit l'homme des droits de l'homme : qu'un hoministe a autant de droits qu'une féministe.
Autrement dit, qu'il est égalitariste... et qu'il est temps de considérer que l'homme est une femme comme les autres et qu'ils doivent être traités sur un pied d'égalité.
Les femmes ont pris le large...
Il est temps de les rattraper. Même notre grossesse ne peut plus être une chasse gardée puisqu'ils la revendiquent et la pratiquent même sous forme de grossesse nerveuse...
Tous les hoministes en sont là depuis qu'ils ont découvert qu'eux aussi avaient une pensée de derrière. C'est du sexisme pour élitistes.

C- le masculiniste.
Enfin le mot est lâché, parce que toute médaille a un revers... il va y avoir de plus en plus de parfums pour les hommes... masculin... man, men, menem... ça sent le souffre.
Le parfum de celui qui souffre... parce qu'il vient de prendre conscience qu'il est moins que rien...
Je veux dire moins qu'une femme. Du coup, il fait le pied de grue, la grève de la faim, pour qu'on reçoive ses doléances avant d'avoir droit à nos condoléances...
Parce qu'à l'entendre, on dirait qu'il y a mort d'homme. l'homme est mort , non ce n'est pas Nietzsche... c'est le pitch de ces nouveaux indignés qui se sentent floués et spoliés par la gente féminine.
Retournement de l'histoire : l'homme n'a plus ce qu'il avait. Il est accablé par les lois discriminatoires qui en font le dindon de la farce. Il sort dans la rue et manifeste son mécontentement. Et qu'est-ce qu'il raconte ?
Ce sont les privilèges des femmes qui l'insupportent. C'est un scandale : même dans les tribunaux, à délit égal, il y a toujours un châtiment inégal.
Le masculiniste n'est pas dupe, mesdames !
Pour lui, il n'y a aucune raison qu'un porc paye plus qu'une cochonne.
On met tout sur le dos de DSK et on fait les yeux doux à Anne Sinclair.
Non... il n'y a pas de raison...
Aucune raison de ne pas prendre en considération le harcèlement et le viol des hommes qui déposent plainte contre leurs femmes... aucune raison de croire que c'est toujours l'homme le plus fort même quand il n'y a pas plus faible.
Aucune raison pour que les pères sèment et que les mères récoltent.
Aucune raison de croire qu'une bonne c'est forcément une femme.
Sexisme moyen pour citoyen qui n'a plus tous ses moyens. Encore un problème de quotient intellectuel.

On comprend... on pardonne... et on oublie.
Humour pour tous : on prend le machiste, l'hoministe et le masculiniste et on les marie !