Ingénieurs, ils refusent la prédominance du « système technicien » - commentaires

Ingénieurs, ils refusent la prédominance du « système technicien »

Bonjour,

Cette initiative a l'air très intéressante.

Pouvez-vous nous envoyer votre contact sur l'adresse suivante :

Contact et informations : contact.formic@isf-france.org
Remplir le formulaire en ligne : https://www.isf-france.org/formic2015

Ingénieurs, ils refusent la prédominance du « système technicien »

Bonjour Stef,

l'initiative dont tu parles à l'air très intéressante ! Nous (ISF France) sommes vraiment à la recherche d'initiatives comparables permettant de faire évoluer les formations ! Nous serions vraiment intéressés par ton contact pour que l'on puisse à minima publier un témoignage de ce projet dans notre journal, voire envisager des collaborations avec EWB Australia ?

Si cela te parle pourrais-tu nous envoyer ton contact par un des moyens suivants ?

Contact et informations : contact.formic@isf-france.org
Remplir le formulaire en ligne : https://www.isf-france.org/formic2015

Ingénieurs, ils refusent la prédominance du « système technicien »

Nous sommes là très proche des valeurs de l'éducation à l'environnement et au développement durable (EEDD) ingénieurs sans frontière aurait vraiment sa place dans l'Espace National de concertation (ENC) pour l'EEDD. Organisons nous !

Ingénieurs, ils refusent la prédominance du « système technicien »

Je suis ingenieure francaise formee dans l'une de ces ecoles nationales, mais travaille depuis 5 ans en Australie et suis impliquee ici avec ingenieure sans frontieres (EWB). L'un des developpement recents pour EWB est de travailler de maniere etroite avec Engineer Australia, l'institution representant le corps des ingenieurs ici, sur un programme dont l'un des objectifs est de transformer l'industrie traditionnelle et la rendre plus sensible et adapter pour repondre aux enormes besoins des communautes aborigenes : cela passe d'un cote par le developpement des competences et d'opportunites de formations techniques dans les communautes aborigenes MAIS AUSSI le changement de mentalites du secteur de l'ingenierie, qui sans oublier l'objectif du profit sur le long terme, pourrait beneficier d'une ingenierie alternative et plus inclusive. Cela peut etre interessant si l'on regarde le nombre de jeunes ingenieur(e)s qui cherchent a inscrire leurs efforts de developpement durable pour tous au lieu de vouloir faire 'du technique'. Votre article a vraiment resonne avec les initiatives de ce cote la de la planete. Merci !

Ingénieurs, ils refusent la prédominance du « système technicien »

La question n« est pas la formation mais la posture. Tant que la grande industrie seule financera les ingénieurs que pourront ils ? A quand une recherche développement mutualisée, organisée démocratiquement ? Des projets lancés en open source, pour des objectifs définis en commun, répondant aux besoins des hommes et de l'environnement, financés pourquoi pas par du crowfunding ? Une ingéniérie »économie sociale et solidaire" quoi... A la manière des micro éoliennes Pigott par exemple.
Si ça existe déjà, faites savoir...

Ingénieurs, ils refusent la prédominance du « système technicien »

C'est l'éternelle question de la poule et de l'oeuf...
Revoir la formation des ingénieurs, certes, oui, mais l'ingénierie même de ces formations sont faites par qui ? Qui enseigne ? Qui accède à ces enseignements ? Ce cercle sans fin qui finit par se vicier à force d'être fermé sur lui-même saura-t-il se briser afin de devenir cercle vertueux ?
Même si les transformations sociales ne peuvent se faire sans les élites de notre société, depuis toujours des constats s'amoncellent sur l'échec de notre modèle d'enseignement, de la maternelle aux écoles supérieures.
Tout ce qui reste c'est continuer d'y croire ; et parfois quelques esprits viennent éclairer notre quotidien maussade et le lézardent de rapides coups d'étincelles. Merci.