Deutsche Bank en crise : la plus grosse banque allemande fait planer la menace d’un nouveau chaos économique - commentaires Deutsche Bank en crise : la plus grosse banque allemande fait planer la menace d'un nouveau chaos économique 2016-12-30T09:28:14Z https://basta.media/deutsche-bank-en-crise-la-plus-grosse-banque-allemande-fait-planer-la-menace-d#comment6088 2016-12-30T09:28:14Z <p>Personnellement , je pense que seule cette faillite générale des banques peut sauver la planète . J'espère que 2017 verra enfin ces banquiers bien ruinés et ce, de façon définitive . <br class="autobr"> Afin de reconstruire un monde plus partageur en comptant sur des citoyens bien plus productifs et intelligents qu'ils le pensent !</p> Deutsche Bank en crise : la plus grosse banque allemande fait planer la menace d'un nouveau chaos économique 2016-10-12T10:18:02Z https://basta.media/deutsche-bank-en-crise-la-plus-grosse-banque-allemande-fait-planer-la-menace-d#comment5743 2016-10-12T10:18:02Z <p>Deutsche Bank est en crise et fait planer une menace d'ordre systèmique sur l'économie mondiale pouvant emporter tout le système bancaire....<strong>et alors</strong> ?</p> <p>Ces grandes banques comptent sûrement sur le mantra « <strong>too big to fail</strong> » afin que la puissance publique, si critiquée par ailleurs par ces dernières, vienne les sauver gentiment et tire un trait provisoire sur leurs manigances.</p> <p>Et ensuite, tout recommencera comme d'habitude dans le meilleur des mondes possibles...</p> <p>NON ! Qu'elle coule cette banque et toutes ces soeurs avec, et on verra ce qui se passera car au fond il n'y a rien de plus pire que de s'entêter à sauver un système que tout le monde sait mauvais et qui profite à une poignée.</p> Deutsche Bank en crise : la plus grosse banque allemande fait planer la menace d'un nouveau chaos économique 2016-10-08T16:10:02Z https://basta.media/deutsche-bank-en-crise-la-plus-grosse-banque-allemande-fait-planer-la-menace-d#comment5723 2016-10-08T16:10:02Z <p>La crise mondiale du fait de l'acharnement de l'oligarchie néolibérale à vouloir à tout prix que les gens gagnent moins fait que la consommation baisse constamment et du coup les profiteurs se trouvent piégés par leur propre piège mais comme ils sont trop bêtes pour le voir ils continuent allégremment de scier la branche sur laquelle ils sont assis.</p> <p> Alors certes comme ces gens là dirigent le monde ils ont des ressources colossales mais qu'ils dilapident en tentant de tenir leur système stupide à bout de bras, comme si de rien n'était alors que tout le monde voit la supercherie au grand jour.</p> <p> Nous retrouvons de nombreux éléments indiquant le chaos qui vient, comme ces deux économistes néolibéraux qui ont sorti un livre afin de faire interdire les propos des économistes dissidents, à savoir les incompétents mais qui gagnent grassement leur vie grâce aux financements de leurs maîtres, qui demandent aux compétents de se taire, pire qui veulent que les autorités les fassent taire.</p> <p> Le Brexit en est un autre aspect flagrant, nos médias de masse sont de plus en plus critique envers les anglais et n'arrêtent pas de voir ce pays sombrer dans le néant alors que les chiffres de bases, pauvreté et chômage n'ont toujours pas bougé, mais les financiers sont très inquiets de voir leur gros gateau se barrer donc nous assiston à un « england bashing » particulièrement indécent.</p> <p> La peur est en train de changer de camp.</p> <p> « De l'art d'ignorer le peuple » <a href="https://www.monde-diplomatique.fr/2016/10/ROBERT/56457" class="spip_url spip_out auto" rel="nofollow external">https://www.monde-diplomatique.fr/2016/10/ROBERT/56457</a> payant ou abonnés</p> <p> " Par un retournement spectaculaire, dans nos démocraties modernes, ce ne sont plus les électeurs qui choisissent et orientent les élus, ce sont les dirigeants qui jugent les citoyens. C'est ainsi que les Britanniques, comme les Français en 2002 (échec de M. Lionel Jospin au premier tour de l'élection présidentielle) et en 2005 (« non » au référendum sur le traité constitutionnel européen), ont subi une psychanalyse sauvage à la suite du « Brexit » du 23 juin 2016. On peut avancer, sans craindre de se tromper, qu'une telle opération — réalisée presque entièrement à charge avec orchestration médiatique — n'aurait pas été effectuée si le scrutin avait conclu au maintien du Royaume-Uni dans l'Union européenne. Le principe d'une consultation populaire sur « un sujet aussi important » n'aurait pas davantage été questionné.</p> <p>On le sait : un principe à géométrie variable n'est pas un principe, c'est un préjugé. Celui-ci peut être analysé de deux manières : mépris de classe ou haine de la démocratie. Le premier sentiment dégouline assurément de la bouche du toujours subtil Alain Minc : « Ce référendum n'est pas la victoire des peuples sur les élites, mais des gens peu formés sur les gens éduqués. » À aucun moment l'idée n'effleure la classe dirigeante que les citoyens rejettent les traités européens non pas parce qu'ils seraient mal informés, mais parce qu'au contraire ils tirent des leçons tout à fait logiques d'une expérience décevante de près de soixante ans."</p>