Naomi Klein : « Trump est une nouvelle sorte de politicien : il est la fusion de l'homme et de la grande entreprise » - commentaires

Naomi Klein : « Trump est une nouvelle sorte de politicien : il est la fusion de l'homme et de la grande entreprise »

C'est un doublon, dsl, merci de supprimer ce deuxième message, si il y-a quelqu'un qui peut.

Naomi Klein : « Trump est une nouvelle sorte de politicien : il est la fusion de l'homme et de la grande entreprise »

Je ne pense pas que la vie soit aussi schématique qu'il est pratique de le penser.
Je pense que la mentalité conditionne les actes, mais l'inverse est vrai aussi comme Lucien le souligne.

D'un point de vue global, il est important que ceux et celles qui œuvrent pour l'intérêt général, que ce soit dans la construction d'alternatives, l'entretient et l'amélioration des activités déjà existantes (collectifs, z-a-d, assos, acquis sociaux...) ou dans l'opposition aux méfaits du système dominant.
Ce quelque soit le domaine abordé comme le souhaite Naomi Klein.
Mais cela parait plus compliqué si on parle des moyens employés (et parfois même des fins).
Car à ce moment là on voit poindre des dissensions entre les mouvements, sinon des hostilités. Particulièrement quant il y-a une enjeu de pouvoir. C-a-d quant les luttes passent de l'opposition à un « ennemi » commun qui les réunies, à la construction de leurs projets alternatif.
Si on regarde la plupart des révolutions politiques dans l'histoire on peu constater que les communistes et les socialistes s'en sont pris aux anarchistes, en particulier dès que les pouvoirs capitalistes, royalistes et fascistes (il s'agit de facettes du même système) étaient défait.
D'ailleurs on peu constater que là où les communistes et les socialistes ont réussi à essayer de construire leur modèle de société, un retour systématique au capitalisme à été opéré, via la centralisation du pouvoir. Ce qui n'a jamais été le cas des systèmes anarchisant tel que la région du Chiapas, la Commune de Paris et autres expériences anarchistes (Makhnovchtchina, Espagne durant la guerre civile, etc). On peu se réjouir de l'expérience actuelle au Rojava en espérant qu'elle tienne bon l'après DAESH.

Naomi Klein : « Trump est une nouvelle sorte de politicien : il est la fusion de l'homme et de la grande entreprise »

Je ne pense pas que la vie soit aussi schématique qu'il est pratique de le penser.
Je pense que la mentalité conditionne les actes, mais l'inverse est vrai aussi comme Lucien le souligne.
Il faut faire attention à ses pensées, car elles se transforment en actes qui deviennent des habitudes et conditionnent notre personnalité.
Mais il est vrai que les actes conditionnent aussi nos pensées. Combien de jeunes idéalistes on remis leurs esprit critique au placard une foi habitués au monde du travail et de la consommation dans lesquels ils tiennent des responsabilités. Il est difficile de vivre en contradiction avec ses idées et il est souvent plus facile de changer d'idées que de mode de vie. Alors ceux qui se battent pour construire et proposer des alternatives aident les gens à changer de mode de vie plutôt que d'idées.

Par ailleurs, d'un point de vue global, il est important que ceux et celles qui œuvrent pour l'intérêt général, que ce soit dans la construction d'alternatives, l'entretient et l'amélioration des activités déjà existantes (collectifs, z-a-d, assos, acquis sociaux...) ou dans l'opposition aux méfaits du système dominant.
Ce quelque soit les domaines abordé comme le souhaite Naomi Klein. Car il est logique au fond que les différentes facettes de la « vérité » qui sont défendues (écologie, culture, social, spirituel etc) n'entrent pas en contradiction les unes envers les autres, mais s'emboîtent dans une lutte commune.
Mais cela parait plus compliqué si on parle des moyens employés.
Car à ce moment là on voit poindre des dissensions entre les mouvements, sinon des hostilités. Particulièrement quant il y-a une enjeu de pouvoir. C-a-d quant les luttes passent de l'opposition à un « ennemi » commun qui les réunies, à la construction de leurs projets alternatif.
Si on regarde la plupart des révolutions politiques dans l'histoire on peu constater que les communistes et les socialistes s'en sont pris aux anarchistes, en particulier dès que les pouvoirs capitalistes, royalistes et fascistes (il s'agit des différents masques du même principe de minorité privilégiée) étaient défait.
D'ailleurs on peu constater que là où les communistes et les socialistes ont réussi à essayer de construire leur modèle de société, un retour systématique au capitalisme à été opéré, via la centralisation du pouvoir. Ce qui n'a jamais été le cas des systèmes anarchisant tel que la région du Chiapas, la Commune de Paris et autres expériences anarchistes (Makhnovchtchina, Espagne durant la guerre civile, etc). On peu se réjouir de l'expérience actuelle au Rojava en espérant qu'elle tienne bon l'après DAESH.

Naomi Klein : « Trump est une nouvelle sorte de politicien : il est la fusion de l'homme et de la grande entreprise »

« Etre prêt à nous changer nous-mêmes pour changer le monde » L'implication dans un combat change l'individu mais ce n'est pas le changement de la mentalité individuelle qui entraîne la participation au combat, celle-ci accompagne le combat mais ne le précède pas.
La lutte contre le sexisme, contre le démantèlement du code du travail,pour la réduction du temps de travail, contre la souffrance au travail , pour la relocalisation de la production...sont indissociables du combat écologique et de la justice climatique. On ne peut plus imaginer lutter pour une autre société sans mettre au premier plan la préservation du climat et de la nature, cela inclut une autre façon de produire et de consommer ainsi qu'un autre rapport entre les êtres humains.