Violences policières : des centaines de journalistes et médias dénoncent la volonté de les empêcher de travailler et de témoigner

Je ne crains pas les regards obliques de la bonne conscience panurgèe.Aujourd'hui sur le dossier des violences policières rien de nouveau hélas.
Les flics ont été par le passé autrement plus agressifs qu'aujourd'hui. Le corps des journalistes de presse lui a été majoritairement pendant longtemps la voix de son maître.
Sa nèo- légitimité doit continuer à s'acquerir dans la capacité à résister, Attendre de l'autorité suprême un collier d'immunité fait des journalistes geignards de parfaits candidats pour BFM. Résistez, investiguez
sur la fraude fiscale, l'empoisonnement des terres agricoles, l'absence organisée d'alternatives aux énergies fossiles.
Inventez le futur du journalisme.
Loin de moi l'idée de cautionner les violences policières à l'encontre de la presse au cas où certains auraient besoin d'un décodeur.

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