« On peut pousser son chariot au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère » - commentaires

« On peut pousser son cadis au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

Les fautes d'orthographes sont ce que vous retenez de cet article ? Pour la majorité des êtres humains elles viennent représenter :
L'émotion déstabilisante que sont les difficultés de commencer son deuil face à la cruauté d'un tel contexte. Ne pas pouvoir être en capacité d'accompagner un être aimé dans ces derniers instants et priver ceux qui restent de garder un souvenir apaisant afin de dépasser la perte. Moi, qui ne suis ni plus moins qu'une personne ayant connue la perte soutient avec affection les personnes concernees par cet article.

« On peut pousser son cadis au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

Pauvre con vous croyez que dans ces cas là on fait attention aux fautes d'orthographe. C'était ma maman également et quand je vois des commentaires comme les vôtres cela m' écoeure. Je vous souhaite de ne pas vivre cette situation car peut-être que là vous seriez moins stupide. En tout cas des personnes comme vous devriez avoir honte et je vois que bien d'autres vous l'ont également dit.
Comme on dit la connerie n'a pas de nom.

« On peut pousser son cadis au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

wouah !! ta vie doit être vraiment triste si tu n'as rien d'autre à faire mon brave ..fait des mots croisés ou du tricot ..ou prend ton vélo et va donner des leçons de Français au petits jeunes de ton quartier. Là, tu serviras à quelque chose..(ou pas )

« On peut pousser son chariot au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

Il faut malheureusement avoir déjà accompagné un de ses parents vers la mort pour comprendre cet article pour ce qu'il est : la comparaison absurde de ce qui est autorisé ou non.
Faire le deuil d'un membre de sa famille commence si possible par le fait d'être présent avant et après le décès, et lors des obsèques qui permettent en général de dire au revoir symboliquement. Il est invraisemblable que l'on trouve des arrangements pour pouvoir aller acheter des patates en jardinerie ou de l'après-shampoing en supermarché mais pas d'accompagner un de ses proches.

« On peut pousser son chariot au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

Désolé. Merci ce texte sublime.

« On peut pousser son cadis au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

En plus t'es infoutu d'écrire correctement « d'la charité »... j'le croa pas là !

« On peut pousser son chariot au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

Mathieuc, ne serait-il vraiment pas possible de prendre des dispositions spéciales très rationnelles de protections vestimentaires exceptionnelles, comme le font les soignants , pour une simple présence visuelle et vocale de quelques instants, mêmes symboliques, pour un évènement de cette importance ? Sans danger de contamination, sans coût prohibitif pour la société ? Une émotion de cette nature-là, ça ne mérite vraiment aucune considération particulière ?

« On peut pousser son cadis au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

Cadis n'est qu'une francisation légitime du terme anglais caddie, dans un texte très bien écrit et dont l'émotion prégnante t'es évidemment inaccessible, mon pauvre...

« On peut pousser son cadis au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

Je crée un compte juste pour vous répondre.
La seule chose insupportable pour vous ce sont les fautes !! les morts, le chagrin des personnes, si on fait des fautes elle doivent être mis sous silence ? Vous êtes une honte de l'humanité, je fais des fautes mais j'ai honte de faire partie de la même espèce que vous « un être humain ».

« On peut pousser son chariot au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

Bon courage à tous dans cette sur-épreuve ! tout de même ne faudra t il pas reconnaître que cette société qui privilégie les cadis (oups caddies ou mieux, chariots) qui passe plus de temps au supermarché qu'avec leurs aînés bien souvent délaissés, oubliés
On va le dire, pour de « bonnes » raisons : manque de temps à passer avec eux, manque d'espace pour les accueillir, manque de moyens pour les gâter
Expliquant qu'ils soient isolés, pris en charge par des institutions et non des familles qui les auraient peut être laissé mourir auprès des leurs ?

Est ce que tout cela ne produit pas d'effet boomerang ou karma (c'est selon la culture)
Aujourd'hui , confrontés à cette inhumanité des sociétés « jeunistes » envers leurs aînés, serait-il temps de reconsidérer notre lien avec les personnes âgées, avec la vieillesse avec l'âge et le temps
Ne pas un jour, regretter d'avoir privilégier une chose matérielle contre une personne humaine (âgée ou non) ?

Sans avoir la prétention d'y répondre et sans juger personne, la réflexion s'impose sans masque ni camouflage ???

« On peut pousser son chariot au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

Merci pour ce texte fort bien écrit et très touchant.
Cependant...
Remplaçons le nom de l'auteur par M^me Michu, changeons l'adresse du site par celui d'un media généraliste (ou pas d'ailleurs) ou d'un réseau social quelconque, et surtout mettons des mots moins choisis, des phrases moins construites et ce texte apparait pour ce qu'il est : l'aveuglement de gens qui refusent de comprendre.
On peut être éduqué, avoir fait l'apprentissage des belles lettres et finir par être incapable du moindre raisonnement face à l'émotion. Oui c'est dur, oui c'est difficile, oui c'est une machine extrêmement rationnelle et pourtant extrêmement mal construite qui s'impose à nous dans un des gestes les plus naturel qui soit : la mort.
Je trouve ça très déplacé de mettre en exergue ce genre de témoignages accusateurs qui, si ils sont effectivement fort touchants et intéressants à découvrir, laissent poindre un dépassement de la raison, de la logique, de l'intérêt général et, au final, de la survie des autres, sous le coups des émotions. « Je ne vous pardonnerai pas d'avoir blessé ma compagne »... Mais bordel on est où là ? On prends nos flingues, nos haches, nos machettes et on va se venger sur le premier représentant de l'état venu ?
L'heure est difficile, compliquée, menaçante à de nombreux points de vue. Mais s'il vous plait essayons d'éviter de mettre sur le devant ce genre de témoignage bien écrits formellement, mais mal foutus sur le fond (vous avez le droit de me retourner le compliment). Laissons les pour les proches, pour le nécessaire besoin de catharsis. Mais ne noyons pas le débat par ce genre de prises de positions super-émotionnelles. Sans être nous même des machines, ne laissons pas les émotions de côté mais ne nous laissons pas pour autant submerger par elles.
Merci et bon courage à tous.

« On peut pousser son chariot au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

Les défunts ne les intéressent pas si ce ne sont les leurs. Ils n'acceptent les vivants que soumis et prêts à de sempiternels efforts, de souffrance sociale au nom du sacro saint bien commun, image usurpée, galvaudée pour servir les intérêts d'une toute petite minorité....ces penseurs inféodés, acteurs d'une imposture qui confine jusqu'au boutisme pour rendre hermétique toute velléité de révolte, de contradiction ou de libre arbitre. ..ces penseurs jurant sur l'autel de la vie être à l'oeuvre pour la gloire du pays, en confondant sciemment globalisme et mondialisme... ces mêmes penseurs qui nous servent un soap réchauffé à chaque intervention et où chacun y va de sa répartie pour parler d'un monde nouveau sans pour autant remettre en cause les décisions inhumaines des décennies précédentes ayant mené au désastre que nous connaissons. Personne pour critiquer, muselés dans une imposture qui ne trompe plus personne, nous pensant la dupe aveugle de leurs tours de passe passe, prêts à sacrifier nos valeurs et notre humanité au nom d'un libéralisme inéluctable. Comment alors élever un édifice saint quand toute la base est corrompue jusqu'à la nausée par les consortiums qui dictent des règles servies dans le potage nauséabond d'une gouvernance mondiale qui ne dit pas son nom..

Ils feignent d'ignorer que sous notre silence, nous contemplons le secret de nos vies, toutes dissemblables et pourtant si proches dans les aléas semés sur leurs parcours. Chacun de se souvenir, chacun de se remémorer, chacun de se recueillir en adressant des prières muettes à ceux que nous chérissons et de murmurer paix à ton âme, toi qui scrutait cette société, ses faits, ses gestes et quelquefois de te contenter seulement de sourire. Et souvent, seul ce sourire nous revient en mémoire pour nous rappeler que malheureusement la plupart de nos semblables, dans cette course effrénée à toujours plus, n'ont rien compris...

Je vous exprime mes plus sincères condoléances et vous souhaite, dans cet abîme d'indifférence et de perplexité, la patience en des jours où nous apprendrons par la pensée et le discernement, la compréhension et la foi que toute vie est digne d'être sauvée, et que la miséricorde doit être la qualité la plus noble de l'être humain.

« On peut pousser son cadis au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

Cher Keybooardie, Moi je crée un compte juste pour vous dire que votre méchanceté mesquine est sidérante. Oui, je sais que c'est inutile et que vous le savez déjà et sans doute même que ça vous procure un certain plaisir, mais bon, je voulais vous le dire quand même. Peut-être parce que trop, c'est trop...

« On peut pousser son chariot au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

Merci pour ce témoignage poignant et ce constat de manque d'humanité.

« On peut pousser son cadis au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

Ça aurait été tellement plus simple que tu sois constructif en indiquant la correction en commentaire, comme il est d'usage sur certains sites de presse. Au lieu de ça tu es méprisant et préfères jouer au plus malin. À qui la faute ?

« On peut pousser son cadis au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

et puis bon..... vous dénoncez plein de trucs, mais les commentaires sont soumis à régulation. MDR.... l'hôpital qui sfout de lcharité en fait.

« On peut pousser son cadis au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

Je crée un compte juste pour dire que ça devient insupportable, les fautes d'orthographe sur votre site.... vos articles sont intéressants, mais alors le CADIS (et répété dans l'article en plus !!) non c'est pas possible... Sérieux, si vous prétendez écrire des articles et dénoncer les abus de notre société, il faut un minimum de crédibilité, et pour commencer être capable d'écrire correctement !!!
CADIS ???? trop c'est trop