Race, racisme, racisé, privilège blanc, indigéniste… Comprendre ce qui se cache derrière les mots - commentaires

Race, racisme, racisé, privilège blanc, indigéniste… Comprendre ce qui se cache derrière les mots

Ceux qui comme ma pomme sont de la race des simplets se sentent un peu/beaucoup/considérablement discriminés quand ils tombent sur ce genre d'articles. J'imagine que leurs auteurs-ses et les lecteurs-euses pour qui ce n'est pas un pur charabia de dialectique masturbatoire fait par des élites pour des élites s'en tamponnent, et elle ont bien raison (ou pas).

Vous n'auriez pas une version avec des image, genre « les grands concepts intellos pour les Nuls » ?

Mouarf.

Race, racisme, racisé, privilège blanc, indigéniste… Comprendre ce qui se cache derrière les mots

Il y a beaucoup de choses dans votre message, je voudrais pourtant rappeler une chose essentielle : La détermination des « races » ne procède pas de la même méthode que la détermination des « classes ». Un blanc pauvre peut potentiellement changer de classe sociale. Un racisé noir ne le pourra pas parce ce qu'on lui reproche le simple fait d'être né, il ne peut pas changer la quantité de mélanine dans sa peau.

C'est ce qui fait « l'intérêt » de la racialisation dans la logique perverse de la domination, il ne s'agit plus de faits (richesse, intelligence...) mais de dogmes qui s'affranchissent de la preuve ou de la logique : Le critère de domination n'est plus une supériorité de faits comme dans les classes sociales (richesses, statut...) mais une barrière définitive « du seul fait qu'il soit né » (cf. débats du procès de Nuremberg) basée sur une ou des caractéristiques arbitraires des individus, caractéristique idéalement inchangeable (né avec beaucoup de mélanine...) ou beaucoup plus arbitraire mais ne dépendant pas des actions de l'individu (né de parents « Juifs » ou « Palestiniens »...).

Je dois être « intersectionnel » parce que, pour moi, classe sociale ou sexisme ou racisme, toutes ces choses sont des outils qui n'ont qu'un seul but : La domination et le sentiment de puissance, les sociétés humaines sont globalement très psychopathes. Le premier progrès à faire n'est pas technique, mais social pour dépasser enfin le chimpanzé.

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Le vieux monde a perdu depuis longtemps mais comme ils possèdent tous les capitaux et outils de production ils les utilisent afin d'exprimer leur profonde et exponentielle peur du fait de leurs trop de possessions.

Nietzsche nous avait prévu, plus on possède et plus on est possédé et comme on le constate plus on détruit la planète et son humanité.

« Seul devrait posséder celui qui a de l'esprit autrement la fortune est un danger public. » Nietzsche

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Intéressant cet article. Il permet de préciser, du point de vue de la sociologie, des termes que l'on emploie dans la société d'une manière idéologique.
« Les indigènes de la République » association crée en 2005 est souvent employée afin de flétrir par les dominants, sans qu'on sache exactement ce qu'elle dénonce et promeut. La prééminence accordée aux rapports de domination de classe capitaliste, approche marxiste chez les indigènes de la république, est à mettre en relation avec les recherches faites avec « l'intersectionnalité » qui intègre les trois dimensions simultanément de classe, de genre, et de race .

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Petit oubli, puisque pour vous le fait de coller une couleur (le fait dans l'inconscient de tout le monde, et non le concept). Car en fait le seul privilège blanc qui existe est celui du noble et du bourgeois, du riche. C'est donc un concept de classe et non de race. Et si le privilège blanc est de ne pas avoir de soucis quand il cherche un appartement (ce qiu est faux, tout dépend de ses ressources mais on va dire qu'il aura moins de chances d'être jugé sur sa couleur) alors ce n'est pas un privilège, puisque c'est la normalité à laquelle chacun doit s'attendre et prétendre. Les lois existent même pour lutter non pas contre un prétendu privilège mais contre la discrimination. La normalité n'est pas un privilège un privilège c'est quelque chose de très rare et réservé à une toute petite sphère. Il y a trois niveaux, le privilège (pour les élites en général) , la normalité, la discrimination. ICi on gomme un niveau volontairement pour induire en erreur et inciter à la haine sur la base d'une couleur, en prétextant que non ... blanc serait un concept.

Ca marche un peu dans l'autre sens car racisé c'est avoir un plafond de verre, être une victime h24. Donc un fils de diplomate Africain est une victime, le fils de Will Smith est une victime.. et j'en passe. Le sultan du Bahreïn est une victime... On voit bien que ça ne tient pas la route, que c'est bourré d'incohérences et pire en fait que c'est bien voulu, que ça dégomme ce qui a toujours existé, la lutte des classes et qui est la seule lutte légitime sur ce plan. Les milliardaires Chinois sont des victimes mais finalement non car on met les Chinois blancs pour ne pas invalider la théorie boiteuse, bref des contorsions, rien de scientifique... on voit bien qu'en fait on est parti de la conclusion pour essayer de tordre la réalité afin de valider des études de fumistes.

Amusons nous un brin à passer les cerveaux des gens qui ont servi de support, sous une irm, on aura des réponses bien plus proches de la réalité et on verra bien la similitude peu importe la couleur, de l'approche des gens.

Enfin quand même je gardais le dernier morceau choisi pour la fin, amusons nous à inventer le concept chialeuse noire, ou éternelle victime noire. Ah ça fait de suite plus raciste, c'est pour ça qu'on a formulé un concept plus hypocrite avec « racisé » c'est comme pour le technicien de surface, le bobo invente un terme car ça lui écorche sa bouche à lui, le boulot d'esclave reste toujours le même pour celui qui tient le balais par contre. C'est la même chose avec le concept du privilège blanc, donc merci je sais que les gens qui pondent ces concepts sont justement issus de ces castes donc ils ne veulent plus qu'on les lie eux pour leurs privilèges, mais ce n'est pas un privilège blanc, c'est bien des privilèges d'élite, d'entre soi, de suprémacistes pour certains, de bourgeois, mais clairement pas d'une couleur. Et vu ce que j'ai trimé dans ma vie, je suis clairement certain de ne pas avoir eu de privilège d'autant que contrairement aux bourges, j'y étais justement sur les chantiers pour ma part quand j'ai démarré ma vie. J'ai mêlé ma sueur et mon sang.

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(2/2)
La sociologie ne se transpose pas, elle est très relative à la société à laquelle elle s'intéresse, seulement depuis quelques années certains veulent pondre des vérités générales qui ne peuvent pas fonctionner, un homme comme une femme n'a pas les mêmes repères en Inde, en Algérie, en Chine, en France, aux USA. Parfois même d'une région à l'autre d'un pays, les moeurs sont différentes, venant du sud j'ai été troublé la première fois que je me suis fait draguer de manière brute par une femme dans le Nord, non que ça me déplaise mais je n'étais pas habitué.

Tout ce que je peux noter ici c'est des contorsions pour s'autovalider, mais c'est faux d'un point de vue scientifique, de A à Z, déjà parce qu'il n'y a aucune notion de référentiel ou de temporalité. Un slave vendu sur les marchés d'Afrique du Nord était un racisé, autant que ce qu'ont pu l'être les noirs exposés dans les expositions coloniales en France. On va me chercher la petite bête en me disant qu'il y avait un détail à droite ou à gauche sur ce qu'on pouvait dire ou penser, mais si au lieu de faire dans l'idéologie on se penche sur le ressenti et les souffrances, il y a un point ou l'individu se moque un petit peu du sexe des anges et à partir duquel sa vie est un enfer. Ici dans les sciences humaines au final on déshumanise les gens, ce qui est pour le moins curieux.. le rejet de ces thèses est totalement normal, elles ne peuvent satisfaire que des racialistes/racistes et/ou des gens qui sont si privilégiés qu'ils ne connaissent que la vie de ce point de vue là. Ceux qui sont issus de la misère, ceux qui ont des parents/grands parents qui étaient pauvres et crevaient la dalle, rejetteront forcément et dans leur droit, ces thèses nauséabondes.

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Pour commencer j'invite le magasine à regarder les mails pour l'inscription j'ai peur que beaucoup ne se découragent quand ils voient le mail...

concernant le fond de l'article il est franchement très heureux de voir qu'on remet un peu d'histoire pour expliquer comment on voyait les Irlandais, ils n'étaient pas les seuls.. Mais...

Le problème avec la socio qui ne va que d'errements en errements, c'est qu'elle s'approprie des mots, souvent à cause d'idéologues, pour créer une confusion. Etre blanc, noir, etc c'est factuel.. Comme être un homme ou une femme est un type sexuel donc factuel aussi. De fait la socio se base sur d'autres oeuvres de socio+pseudo science aussi fumeuses qui ont créé le racisme et reprend le terme blanc non comme fait, mais comme un concept.. derrière les thèses qui sont balancées ne précisent JAMAIS le référentiel. Or dans les vraies sciences on précise OBLIGATOIREMENT le référentiel. Dès lors il est normal de voir sortir une haine envers les blancs entretenues voire créées chez certaines personnes par ces « études » sur la confusion de blanc/concept, or les gens se considèrent blancs sur le fait. Alors oui certains, eugénistes, racistes, ont estimé le blanc comme au dessus, ce ne sont pas les seuls par contre il n'y a bien que le blanc qui voit sa couleur de peau amalgamée avec le concept de SUPREMACISTE, parce que c'est lui le vrai terme en fait. Et là il a un sens étymologique. Dire qu'il y a un racisme envers les blancs c'est affirmer qu'il y a un racisme envers les personnes FACTUELLEMENT blanches, donc si l'étude affirme qu'on s'attaque au blanc/concept elle se contredit de fait en parlant ainsi de non sens... Puisque ce racisme ne porte pas sur le blanc/concept mais sur le blanc/couleur.
Donc c'est une grosse couleuvre qu'on essaie de faire avaler aux gens, car c'est clairement du racisme qui est fait ici, du racialisme menant à du racisme sous de pseudos raisons. Ici on amalgame comme blanc toute personne de couleur blanche mais on affirme que finalement non ça serait le suprémacisme blanc, le sentiment de supériorité qui mènerait à. Sauf que je le redis ce sentiment de supériorité n'est pas un trait des blancs, ne passe pas par le blanc, des tas de peuples l'ont éprouvé de même que puisque vous le dites vous mêmes les racisés changent aussi. Les chrétiens ont été des racisés, les Gaulois sous l'empire Romain étaient des racisés, tout l'empire grec percevait tous les autres comme des racisés, les Chinois considéraient les autres comme des racisés, Darius II et consorts percevaient les autres comme racisés, les musulmans dans leurs conquêtes percevaient les autres comme racisés, et en fait... En Afrique noire aussi certains peuples s'estimaient supérieurs et le définissaient aussi par des traits de visage, la taille, etc...

Donc ce concept blanc+racisé, ne tient pas la route. tout comme au final le concept de genre ne tient pas plus la route, déjà celui qui l'a créé a foiré son expérience et ça a été dramatique, mais si finalement chacun a besoin d'inventer un genre pour définir sa sexualité c'est qu'au final elle est si riche qu'elle ne peut pas être regroupée dans des groupes, et c'est ça en fait le concept du genre, estimer qu'on peut grouper. Mettre une étiquette, mais l'esprit humain est trop compliqué pour que ces étiquettes fonctionnent de manière sûre. Là aussi on essaie encore de grouper, dans la même lignée que les eugénistes, pire.. dans un pays qui a quand même inscrit que les races n'existaient pas.. Et là c'est bien un concept de race qu'on essaie de dépoussiérer.(1/2)