Prix des logements : la France à la traîne pour protéger les familles modestes face à la spéculation - commentaires

Prix des logements : la France à la traîne pour protéger les familles modestes face à la spéculation

Je rejoins WPJO sur ses propos. Faux non, mais il est trop simple en effet de comparer l'augmentation des prix d'un logement aux revenus. Les revenus eux même étant impactés par autres choses, déjà tout simplement par le coût de la vie qui lui aussi augmente d'année en année. Et même si force est de constater que le prix de l'immobilier augmente sans cesse dans le temps, on voit par exemple sur todosconelsahara.com que cette augmentation est très variable selon les région, les départements, les villes... Et puis il ne faut pas se le cacher, les professionnels de l'immobilier (agences, promoteurs, constructeurs et autres) ne s'intéresse guère au revenus bas et modestes.

Prix des logements : la France à la traîne pour protéger les familles modestes face à la spéculation

Il est faux de comparer l'augmentation des prix d'un logement aux revenus. Il y a un facteur qui joue énormément : le taux des intérêts net (= taux facturé par la banque - l'inflation).

En 1985, je payais 10.5% d'intérêt, l'inflation était 3,5%, et les crédits n'étaient pas renégociables. En en tenant compte, les prix n'ont pas vraiment changé par rapport aux salaires..

Prix des logements : la France à la traîne pour protéger les familles modestes face à la spéculation

Merci pour cet article.
Ben oui ! « on » s'enflamme sur des sujets dits sociétaux et sur cette question de droits fondamentaux (se loger, se nourrir, etc), un silence pesant.
Les prix du logement explosent partout, en tout cas partout où il y a de l'emploi.
Après, il faut aussi nous interroger sur le fait que les revenus du travail stagnent, pourquoi, comment. Et comment repartir à l'offensive sur les bas salaires.