Se déconfiner des zones urbaines, rendre l’écologie désirable : les défis de la gauche avant les législatives - commentaires

Se déconfiner des zones urbaines, rendre l'écologie désirable : les défis de la gauche avant les législatives

« continuer d'installer une alternative durable et désirable au macronisme » : où, quand, comment ?
« transformer ces aspirations en projet partagé » : co-construit ? je pinaille, parce que si je comprends l'idée, je préfère cadrer le thème en parlant de programme politique.

ok pour le deuxième chantier.

pas du tout d'abord avec le 3^e chantier. s'unir pour s'unir ne mène à rien, selon moi. c'est sur la base de l'aec qu'il faut discuter. si les PS PC EELV se comportent comme des trolls de la politique, ils se décridibiliseront tout seuls.

Se déconfiner des zones urbaines, rendre l'écologie désirable : les défis de la gauche avant les législatives

« En finir avec la politique politicienne » .... en effet alors voila une position qui s'y rapporte trés bien de LO, on peut dire que le NPAet aussi les anarchistes sont aussi sur cette ligne bien loin des arrangements et des calculs d'ex ministres et parti de gouvernement ayant leur trés grande responsabilité dans cette montée de l'extréme droite :

"Dans ce deuxième tour, l'électorat ouvrier est sommé de choisir entre la peste et le choléra.

Pour ma part, je refuse ce choix et je voterai blanc pour rejeter et Macron et Le Pen !

Quel que soit le vainqueur, il n'y a pas à se décourager et à baisser la tête. Au contraire ! La force des travailleurs n'est pas dans les urnes mais dans leurs propres luttes. Il faut qu'ils soient conscients qu'ils auront un ennemi à l'Élysée.

La crise de l'économie s'aggrave de jour en jour, accélérée par la guerre en cours en Ukraine et par toutes ses conséquences, comme l'envolée de la spéculation. L'économie capitaliste est en train de sombrer dans le chaos dont les classes populaires seront inévitablement les victimes.

Nos sœurs et frères prolétaires d'Ukraine meurent aujourd'hui sous les bombes ; ceux de Russie subissent aussi une guerre qu'ils n'ont pas voulue et dans laquelle ils n'ont aucun intérêt. Les masses pauvres du continent africain sont poussées à la famine par l'envolée des prix alimentaires.

Mais disons-nous que c'est aussi l'avenir que nous réserve la grande bourgeoisie ici, en France, un des pays les plus riches de la planète.

Notre avenir ne dépend pas de la mascarade d'une élection fût-elle présidentielle. Il dépend de la capacité des masses pauvres à réagir efficacement à la guerre sociale que leur mène la grande bourgeoisie. Dans ce combat, le rôle décisif appartient au prolétariat, à ceux qui font marcher l'économie et fonctionner la société, et qui sont aussi les seuls à pouvoir la changer.

Seules les luttes des travailleurs feront reculer le patronat, la grande bourgeoisie et leurs commis politiques. Notre avenir dépend de nous tous !

Nathalie ARTHAUD

Se déconfiner des zones urbaines, rendre l'écologie désirable : les défis de la gauche avant les législatives

En finir avec la politique politicienne qui se traduit par les critiques injustifiées envers Mélenchon et la France insoumise de la part de Jadot, Roussel et Hidalgo surtout depuis la guerre en Ukraine. On peut dire, alors qu'ils ont maintenu leur candidature malgré les sondages très défavorables, qu'ils ont soutenu Macron dès le 1^er tour.
La campagne de « L'union populaire » a montré que l'on peut rassembler autour d'un programme malgré les obstacles, sa progression alors que l'abstention était plus importante le prouve, un véritable 'pôle populaire" s'est créé, il ne demande qu'a s'élargir à toutes les couches de la société en particulier, selon, l'article dans les zones rurales.
Tôt ou tard cela finira par payer si le cap est maintenu

Présidentielle : l'espoir reste dans la rue et dans les urnes pour les législatives

Merci pour ce commentaire. Il va permettre de dépasser les déceptions, rancœurs et construire quelque chose d'efficace.

Je reprends là où votre propos souligne l'importance de la mise en place d'un Parlement de l'Union populaire.
Je crois aussi également que c'est la bonne route. Cette route qui a tant de fois été évoquée par Jean-Luc Mélenchon et beaucoup d'autres par un terme que je synthétise par un seul mot qui parle à tout le monde : « convergence des luttes ».
Là aussi à gauche (politiques et syndicats), les blocages sont puissants. C'est cette barrière qu'il va falloir franchir. Comprendre que s'unir sur la base d'un projet de société, ce n'est pas renoncer à ses convictions personnelles, mais aussi les faire vivre.
Une leçon à retenir.
Les législatives (mais pas seulement) sont le prochain moment où il faudra se battre ensemble , parce que maintenant que les fauves sont lâchés, ils vont chercher à nous bouffer....