Des aliments de qualité pour les quartiers populaires : « On a aussi droit au beau quand on n'a pas de thunes » - commentaires Des aliments de qualité pour les quartiers populaires : « On a aussi droit au beau quand on n'a pas de thunes » 2022-11-29T15:47:20Z https://basta.media/des-aliments-de-qualite-pour-les-quartiers-populaires-on-a-aussi-droit-au-beau#comment12439 2022-11-29T15:47:20Z <p>L'initiative est sympathique. La phase d'après serait de commencer l'autonomie alimentaire pour éviter au maximum le système marchand, sortir le plus possible de la dépendance. C'est à dire travailler avec les paysans : cultiver, planter, récolter fruits et légumes avec elles et eux, en commun ; en échange de leur travail, les citoyens récoltent une partie de ce qui a été semé et les paysans sont aidés par la population. Ce n'est pas complètement satisfaisant non plus, mais c'est une étape de plus qui est franchie. Cela permet aussi de sortir du système d'agriculture productiviste. Après, à chaque groupe formé de définir ses propres règles d'échanges. Par exemple, cela fonctionne comme cela entre des habitant-es de Montreuil et une agricultrice du 77 ; les légumes récoltés alimentent plusieurs cantines solidaires à prix libre (Gilets Jaunes, Pyrénées 75019,.....).</p> Des aliments de qualité pour les quartiers populaires : « On a aussi droit au beau quand on n'a pas de thunes » 2022-11-29T15:44:28Z https://basta.media/des-aliments-de-qualite-pour-les-quartiers-populaires-on-a-aussi-droit-au-beau#comment12438 2022-11-29T15:44:28Z <p>L'initiative est sympathique. La phase d'après serait de commencer l'autonomie alimentaire pour éviter au maximum le système marchand, sortir le plus possible de la dépendance. C'est à dire travailler avec les paysans : cultiver, planter, récolter fruits et légumes avec elles et eux, en commun ; en échange de leur travail, les citoyens récoltent une partie de ce qui a été semé et les paysans sont aidés par la population. Ce n'est pas complètement satisfaisant non plus, mais c'est une étape de plus qui est franchie. Après, à chaque groupe formé de définir ses propres règles d'échanges. Par exemple, cela fonctionne comme cela entre des habitant-es de Montreuil et une agricultrice du 77. Cela permet aussi de sortir du système d'agriculture productiviste.</p>