Solidarités
Des écoles alternatives pour les jeunes exilés refusés par l’Education nationale
Par
Marie Bertin (Les autres possibles)
En Loire-Atlantique, plus de mille jeunes exilés sont arrivés, seuls, à Nantes ou à Saint-Nazaire depuis le mois de janvier. Près de la moitié d’entre-eux ont été pris en charge par le Département, qui en a l’obligation. Mais pour ceux dont la minorité n’a pas été reconnue, retrouver le chemin de l’école relève du parcours du combattant. A Nantes, plusieurs collectifs de citoyens s’organisent pour monter des écoles « alternatives ».