Le bio est-il bon pour les pauvres ?
Ouvrir un magasin bio pour les gens modestes : pari impossible ? A Marseille, l’association Filière paysanne veut s’installer dans un quartier populaire. Réunion avec des habitants de La Busserine dans un local associatif pas riche non plus. Tout de suite les questions fusent : combien ça coûte ? Est-ce que cela va créer des emplois dans le quartier ? Et si des jeunes veulent devenir agriculteur ? Comme dit l’autre : le bio, c’est bien beau...