Je reprends une partie du texte de l’article : « Grâce aussi aux probables bons scores de Syriza, du Premier ministre Alexis Tsipras en Grèce (créditée de 25 %) ». Si Syriza fait encore partie de la gauche « radicale » européenne, il y a de quoi s’inquiéter sur la radicalité de cette gauche ...