Quand un riche « voyou du climat » veut manipuler les océans
~(...)~ Un businessman californien a joué les apprentis sorciers cet été, au large du Canada. Il a mené~(...)~
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~(...)~ par le site d'informations Euractiv, « manquer cet objectif coûterait au moins 34 milliards d'euros~(...)~000 emplois "verts" ». Le non-respect de cet objectif entraînerait en plus des sorties de capitaux~(...)~
~(...)~ article). De grandes entreprises françaises participent à cet afflux massif de dollars. Leur objectif premier:~(...)~jour : Des modifications ont été effectuées sur cet article le 6 novembre à 18h suite ~(...)~
~(...)~ », relève l'association les Amis de la Terre. Cet abandon en rappelle un autre : la « contribution climat~(...)~
~(...)~ les répéter et d'établir les responsabilités de cet échec. A Ecologistas en Acción d'Aragon, nous~(...)~
~(...)~ pour financer ses actions de conservation. Cet accord a fait énormément de bruit mais~(...)~aux logiques des « partenariats public-privé ». Avec cet investissement, Canopy Capital espère ensuite vendre des~(...)~
~(...)~ hausse maximale de 2 °C. Or, pour atteindre cet objectif, rappelle le CNRS, de véritables « politiques climatiques~(...)~
~(...)~ de l’acidification des océans, mais même dans cet atoll où la population importe désormais des boîtes~(...)~
~(...)~ nos voisins européens, nous devrions en finir avec cet exécutif bancal et confier la conduite de la~(...)~