Un rapport dénonce un « maintien de l’ordre disproportionné et dangereux » à Toulouse
~(...)~ dans le centre-ville : nasses, envoi massif de gaz lacrymogène, interpellations, blessés... Une répression devenue banale ? C~(...)~
~(...)~ dans le centre-ville : nasses, envoi massif de gaz lacrymogène, interpellations, blessés... Une répression devenue banale ? C~(...)~
~(...)~moins spectaculaires que les impacts de LBD, les gaz lacrymogènes font beaucoup de dégâts. Samedi, sur ~(...)~ précédente : « Samedi 12/01 à Toulouse – gaz lacrymo de la police = des dizaines d'hospitalisés~(...)~
~(...)~ durement affectés par ces hausses permanentes (essence, électricité, gaz, etc.), alors que les salaires et les retraites~(...)~
~(...)~ manifestant : lorsqu’il y a des tirs de gaz lacrymogène, vous vous mettez quelque chose sur le~(...)~
~(...)~ manifestants ont été accueillis par des tirs de gaz lacrymogènes après 20 minutes de défilé.» La Revue~(...)~
~(...)~ rond-point disparaît doucement dans un nuage de gaz et de fumée noire de pneus brûlés. Nous~(...)~ pour y arriver le plus vite possible : grenades, gaz, tirs de LBD, tout y passe. Très vite~(...)~
~(...)~ et que je ne peux pas supporter les gaz ; donc je n’allais plus aux manifs. Quand~(...)~ une poubelle parce que tu as reçu des gaz... Ça t’énerve, et tu la brûles ! Les~(...)~
~(...)~ est la situation. La place est noyée de gaz lacrymogène, Antoine s’avance par curiosité dans le~(...)~
~(...)~ : comment ça marche ? »), alors une telle usine à gaz... L’essentiel n’est pas là. Les contribuables~(...)~