Descendante du fondateur de l’entreprise BASF, l’Autrichienne Marlene Engelhorn, 32 ans, a hérité d’une large fortune, mais a décidé d’en redistribuer la plus grande partie. Dans le livre L’Argent, elle prône une fiscalité « anti-riches ».
Face au déficit public, il est possible de taxer plus les très riches plutôt que de couper dans les dépenses publiques. En visant le patrimoine, en s’attaquant aux niches fiscales, et en taxant mieux les héritages les plus importants.
La France compte 7% de riches, selon les critères définis par l’Observatoire des inégalités. Les revenus du patrimoine augmentent mais les bas salaires stagnent. Une inégalité face à l’impôt à laquelle souhaite s’attaquer la coalition de gauche.
Face au plan de rigueur annoncé par le gouvernement, l’association Attac propose de trouver au moins 60 milliards d’euros à travers six mesures qui mettent à contribution les ultra-riches et les multinationales. Une pétition est lancée.
Dans l’ouvrage Un pognon de dingue, mais pour qui ?, Maxime Combes et Olivier Petitjean, de l’Observatoire des multinationales, dressent le bilan des aides publiques aux entreprises pendant le Covid, et des abus qui en ont découlé. Extrait.
Seize associations et syndicats lancent une pétition pour préparer un « Jour d’Après » démocratique, écologique, féministe et social. Et demander plusieurs mesures immédiates en faveur de l’intérêt général et non des marchés financiers.
La France, pays d’Europe le plus « étranglé » par les taxes, comme le martèle le Medef ? Encore ne faut-il pas confondre impôt sur la fortune, sur le revenu, TVA et cotisations sociales. À l’examen des chiffres, le tableau est bien plus nuancé.
Lundi 8 avril, l’Assemblée nationale a voté l’instauration d’une taxe sur les multinationales du numérique, appelée taxe « Gafa », pour « Google-Apple-Facebook-Amazon ». Le texte crée une imposition sur les produits tirés de certains services numériques, (…)
Les agents des impôts sont pris en étau entre le sentiment d’injustice fiscale et la mise en œuvre du prélèvement à la source : « On sent une haine des gens pour nous, c’est terrible », témoignent certains. Les accueils des centres des impôts sont pris d’assaut par les contribuables, avec leurs questions et leurs inquiétudes sur la réforme. Loin des déclarations rassurantes du ministre Gérald Darmanin, qui se félicitait le 7 janvier de l’absence de « bug », les fonctionnaires des impôts sont débordés : absence de formation, problèmes informatiques, prolifération des mails et organisation défaillante sont leur lot quotidien. La réforme présentée comme simplificatrice rend encore plus difficile leur métier. Récit.
À partir de ce 22 janvier, grands patrons de multinationales et dirigeants politiques du monde entier se retrouvent à Davos, en Suisse, pour le Forum économique mondial. Lundi, Macron recevait plus de cent responsables de grandes entreprises à Versailles, (…)
Descendante du fondateur de l’entreprise BASF, l’Autrichienne Marlene Engelhorn, 32 ans, a hérité d’une large fortune, mais a décidé d’en redistribuer la plus grande partie. Dans le livre L’Argent, elle prône une fiscalité « anti-riches ».
Face au déficit public, il est possible de taxer plus les très riches plutôt que de couper dans les dépenses publiques. En visant le patrimoine, en s’attaquant aux niches fiscales, et en taxant mieux les héritages les plus importants.
La France compte 7% de riches, selon les critères définis par l’Observatoire des inégalités. Les revenus du patrimoine augmentent mais les bas salaires stagnent. Une inégalité face à l’impôt à laquelle souhaite s’attaquer la coalition de gauche.
Face au plan de rigueur annoncé par le gouvernement, l’association Attac propose de trouver au moins 60 milliards d’euros à travers six mesures qui mettent à contribution les ultra-riches et les multinationales. Une pétition est lancée.
Dans l’ouvrage Un pognon de dingue, mais pour qui ?, Maxime Combes et Olivier Petitjean, de l’Observatoire des multinationales, dressent le bilan des aides publiques aux entreprises pendant le Covid, et des abus qui en ont découlé. Extrait.
Seize associations et syndicats lancent une pétition pour préparer un « Jour d’Après » démocratique, écologique, féministe et social. Et demander plusieurs mesures immédiates en faveur de l’intérêt général et non des marchés financiers.
La France, pays d’Europe le plus « étranglé » par les taxes, comme le martèle le Medef ? Encore ne faut-il pas confondre impôt sur la fortune, sur le revenu, TVA et cotisations sociales. À l’examen des chiffres, le tableau est bien plus nuancé.
Lundi 8 avril, l’Assemblée nationale a voté l’instauration d’une taxe sur les multinationales du numérique, appelée taxe « Gafa », pour « Google-Apple-Facebook-Amazon ». Le texte crée une imposition sur les produits tirés de certains services numériques, (…)
Les agents des impôts sont pris en étau entre le sentiment d’injustice fiscale et la mise en œuvre du prélèvement à la source : « On sent une haine des gens pour nous, c’est terrible », témoignent certains. Les accueils des centres des impôts sont pris d’assaut par les contribuables, avec leurs questions et leurs inquiétudes sur la réforme. Loin des déclarations rassurantes du ministre Gérald Darmanin, qui se félicitait le 7 janvier de l’absence de « bug », les fonctionnaires des impôts sont débordés : absence de formation, problèmes informatiques, prolifération des mails et organisation défaillante sont leur lot quotidien. La réforme présentée comme simplificatrice rend encore plus difficile leur métier. Récit.
À partir de ce 22 janvier, grands patrons de multinationales et dirigeants politiques du monde entier se retrouvent à Davos, en Suisse, pour le Forum économique mondial. Lundi, Macron recevait plus de cent responsables de grandes entreprises à Versailles, (…)