Depuis 2008, dans les Côtes d’Armor, le financement public de l’agriculture est réservé aux petits exploitants engagés dans une démarche de développement durable. Un bonus sera même accordé à ceux qui passent en bio. Tout le contraire de la Politique agricole commune (PAC) qui déverse des milliards de subventions sans se soucier des conditions de productions, et des pollutions qu’engendre l’agriculture industrielle.
Par
Raphaël Baldos