Les banques françaises investissent largement plus dans les énergies sales que dans les renouvelables
~(...)~ de charbon, de gaz de schiste, de sables bitumineux ou d'autres sources fossiles. C’est aussi~(...)~
~(...)~ de charbon, de gaz de schiste, de sables bitumineux ou d'autres sources fossiles. C’est aussi~(...)~
~(...)~, un nouvel oléoduc géant pour les sables bitumineux canadiens Keystone XL, Énergie Est, et maintenant~(...)~rêvent les multinationales pétrolières. Or les sables bitumineux, en plus de provoquer une vaste ~(...)~
~(...)~placé... dans le pétrole, le charbon, les sables bitumineux, le gaz. Bref, tout ce qui hypothèque l~(...)~pour le projet Dakota Access Pipeline), les sables bitumineux au Canada (2 millions d’euros en action~(...)~
~(...)~ mines, le pétrole ou les exploitations de schistes bitumineux, tous énormes consommateurs d’eau ». La plupart de~(...)~
~(...)~’autres énergies « sales », comme l’exploitation des sables bitumineux canadiens. En tant qu'investisseur, les banques, comme~(...)~
~(...)~ fossiles non-conventionnels [gaz de schiste et sables bitumineux] ». ING, de son côté, a indiqué aux Amis~(...)~
~(...)~ pétrolier, malgré ses activités controversées dans les sables bitumineux ou le gaz de schiste et ses relations~(...)~
~(...)~ les plus polluantes, le pétrole issu des sables bitumineux au Canada par exemple. Et n’a pas~(...)~
~(...)~ de schiste et le pétrole issu des sables bitumineux au Canada. Loin de se préparer à une~(...)~