Entre annonces chocs et mesures effectives ridicules, la violence scolaire semble être devenue un hochet que le gouvernement agite au gré des évènements et de ses besoins électoraux. Il est temps de s’occuper du mal-être quotidien des élèves, et ne plus laisser les faits divers - et l’émotion qu’ils suscitent - écrire les lois, aussi nombreuses qu’inefficaces.
Par
Tatiana Zuniga