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À peine Bachar al-Assad était-il tombé que plusieurs pays européens, dont la France, ont suspendu les demandes d’asile de Syriens. Des politiciens de droite appellent même à leur rapatriement. 6,6 millions de Syriens ont fui le pays depuis 2011.
L’heure est à la fête pour les Syriens. La chute du régime sanguinaire de Bachar al-Assad ouvre enfin des perspectives dans un pays martyrisé par une décennie de guerre civile et de répression féroce. Mais de grandes incertitudes demeurent.
Le journaliste Meron Rapoport fait partie de la rédaction de +972, un média israélo-palestinien engagé contre la guerre. Pour Basta!, il raconte les clivages de la société israélienne, le traitement médiatique du conflit et la nécessité de la paix.
Aux États-Unis et dans certains pays d’Europe, les manifestations de soutien au peuple palestinien dans les universités rencontrent une répression grandissante. Il est vrai que la force de mobilisation des étudiantes a de quoi inquiéter... ou réjouir.
Les élections municipales en Turquie ont été l’occasion d’un bouleversement du paysage politique du pays. Le parti d’opposition de centre-gauche est arrivé en tête. C’est un revers pour le président Erdoğan.
Depuis le début de la guerre à Gaza, des collectifs et syndicats demandent à travers le monde l’arrêt des livraisons d’armements vers Israël. Des entreprises françaises aussi ont des liens avec l’industrie militaire israélienne.
Du port d’Amsterdam à Rafah, entre la Bande de Gaza et l’Égypte, de la Méditerranée aux réserves amérindiennes aux États-Unis, le journalisme d’investigation transfrontière documente les pratiques, les abus, dans le but de les faire cesser.
Reporters solidaires, collectif de journalistes mobilisées pour soutenir leurs pairs à Gaza, défendre la liberté de la presse et la sécurité des travailleurses de la presse, organise une soirée de soutien le 18 février à Paris.
Ils et elles sont journaliste, enseignant, soignante, chercheure, paysan, et ont décidé de s’engager pour la cause palestinienne depuis cet automne. Portraits d’un Franco-Palestinien, d’une Israélienne, d’un Français et de Françaises mobilisées.
Cette année s’annonce saturée de grands évènements sportifs internationaux. Mais l’organisation de ces fêtes de moins en moins populaires suscitent des oppositions, tant pour ses conséquences écologiques qu’humaines.
À peine Bachar al-Assad était-il tombé que plusieurs pays européens, dont la France, ont suspendu les demandes d’asile de Syriens. Des politiciens de droite appellent même à leur rapatriement. 6,6 millions de Syriens ont fui le pays depuis 2011.
L’heure est à la fête pour les Syriens. La chute du régime sanguinaire de Bachar al-Assad ouvre enfin des perspectives dans un pays martyrisé par une décennie de guerre civile et de répression féroce. Mais de grandes incertitudes demeurent.
Le journaliste Meron Rapoport fait partie de la rédaction de +972, un média israélo-palestinien engagé contre la guerre. Pour Basta!, il raconte les clivages de la société israélienne, le traitement médiatique du conflit et la nécessité de la paix.
Aux États-Unis et dans certains pays d’Europe, les manifestations de soutien au peuple palestinien dans les universités rencontrent une répression grandissante. Il est vrai que la force de mobilisation des étudiantes a de quoi inquiéter... ou réjouir.
Les élections municipales en Turquie ont été l’occasion d’un bouleversement du paysage politique du pays. Le parti d’opposition de centre-gauche est arrivé en tête. C’est un revers pour le président Erdoğan.
Depuis le début de la guerre à Gaza, des collectifs et syndicats demandent à travers le monde l’arrêt des livraisons d’armements vers Israël. Des entreprises françaises aussi ont des liens avec l’industrie militaire israélienne.
Du port d’Amsterdam à Rafah, entre la Bande de Gaza et l’Égypte, de la Méditerranée aux réserves amérindiennes aux États-Unis, le journalisme d’investigation transfrontière documente les pratiques, les abus, dans le but de les faire cesser.
Reporters solidaires, collectif de journalistes mobilisées pour soutenir leurs pairs à Gaza, défendre la liberté de la presse et la sécurité des travailleurses de la presse, organise une soirée de soutien le 18 février à Paris.
Ils et elles sont journaliste, enseignant, soignante, chercheure, paysan, et ont décidé de s’engager pour la cause palestinienne depuis cet automne. Portraits d’un Franco-Palestinien, d’une Israélienne, d’un Français et de Françaises mobilisées.
Cette année s’annonce saturée de grands évènements sportifs internationaux. Mais l’organisation de ces fêtes de moins en moins populaires suscitent des oppositions, tant pour ses conséquences écologiques qu’humaines.