Alors que les preuves scientifiques sur les effets néfastes des pesticides s’accumulent, 400 événements sont prévus du 20 au 30 mars pour promouvoir les alternatives aux pesticides de synthèse et montrer leur efficacité.
Les terres agricoles contaminées par des pesticides organochlorées sont-elles condamnées ? Pas forcément, répondent des chercheurs qui se penchent sur le cas de la dieldrine depuis quelques années.
La France peine à réduire l’usage de pesticides et l’usage des préparations à base de plantes reste compliqué pour les agriculteurs. Si la fabrication de purin d’ortie est devenue légale, de nombreuses autres plantes demeurent « non autorisées ».
La colère gronde chez des agriculteurs bio. Alors que les essais en laboratoire démontrent une réelle efficacité des huiles essentielles contre certaines maladies des plantes, Basta! a enquêté sur une réglementation qui empêche leur développement, alors que le glyphosate est, lui, épandu librement.
Les sénateurs vont-ils entraver une fois de plus les alternatives aux pesticides ? Ils entament ce 26 juin l’examen du projet de loi Agriculture et alimentation. En première lecture, les députés s’étaient accordés sur la possibilité d’élargir la liste des (…)
La répression des fraudes envisage t-elle d’interdire les alternatives aux pesticides chimiques ? Des contrôles ont été menés en juillet dernier par les directions départementales de la protection des populations, dans des magasins Botanic de Saint-Etienne (…)
Selon un document de travail interministériel, daté du 21 juin que RMC s’est procuré, le gouvernement pourrait revenir sur la stricte interdiction des épandages aériens de pesticides. Ce mode de pulvérisations est interdit depuis 2009 par une directive (…)
La « guerre de l’ortie » va-t-elle prendre fin ? Voilà plus de dix ans que des associations luttent pour que les préparations naturelles dites « peu préoccupantes » (PNPP), comme le purin d’ortie, de prêle mais aussi l’argile ou le vinaigre blanc, ne (…)
L’enquête de Cash Investigation diffusée le 2 février rappelle un scandale sanitaire toujours à l’œuvre : les pesticides cancérigènes, mutagènes ou reprotoxiques qui sont déversés par milliers de tonnes chaque année, dans tous les départements. Qu’en est-il des alternatives à ces molécules chimiques de synthèse ? La loi d’avenir agricole de juillet 2014 devait favoriser la commercialisation des préparations naturelles comme le vinaigre blanc, le sucre ou l’argile. Or, le décret permettant leur mise sur le marché traîne au milieu des piles de dossiers du ministère... À ce jour, pulvériser sur ses cultures une tisane de plantes reste passible de poursuites. Quant à l’agriculture bio, sans pesticides, elle n’est pas suffisamment soutenue.
Un pas vient d’être franchi à l’Assemblée nationale pour faciliter le passage à une agriculture sans pesticides. Les préparations naturelles dites « peu préoccupantes » (PNPP), comme le purin d’ortie, de prêle mais aussi l’argile ou le vinaigre blanc, ne (…)
Alors que les preuves scientifiques sur les effets néfastes des pesticides s’accumulent, 400 événements sont prévus du 20 au 30 mars pour promouvoir les alternatives aux pesticides de synthèse et montrer leur efficacité.
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La France peine à réduire l’usage de pesticides et l’usage des préparations à base de plantes reste compliqué pour les agriculteurs. Si la fabrication de purin d’ortie est devenue légale, de nombreuses autres plantes demeurent « non autorisées ».
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Un pas vient d’être franchi à l’Assemblée nationale pour faciliter le passage à une agriculture sans pesticides. Les préparations naturelles dites « peu préoccupantes » (PNPP), comme le purin d’ortie, de prêle mais aussi l’argile ou le vinaigre blanc, ne (…)