Florence Hartmann, ancienne journaliste et porte-parole du procureur du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie, a été condamnée en appel pour outrage envers ce même tribunal. Elle avait, dans un livre, décrit les accords secrets conclus entre le tribunal et la Serbie. Accords qui ont permis d’exonérer l’État serbe de ses responsabilités dans plusieurs carnages, notamment le massacre de Srebrenica.
Par
Nedjma Bouakra