Violences policières : des versions officielles trop souvent démenties par les faits
~(...)~ photo : Un homme en difficulté à cause des gaz lacrymogène, aux pieds des forces de l’ordre~(...)~
~(...)~ photo : Un homme en difficulté à cause des gaz lacrymogène, aux pieds des forces de l’ordre~(...)~
~(...)~ vêtements imprégnés de liquides ou vapeurs inflammables (alcool, gaz, combustibles, etc.) ». Rendre cet homme fautif de sa~(...)~
~(...)~ violemment dispersée par la police à coups de gaz lacrymogène et de tirs de LBD, comme l~(...)~
~(...)~ chaîne « pour laisser l’air rentrer», car du gaz a explosé à cause d’un aérosol. En~(...)~
~(...)~ reçu seize décharges de taser, été aspergé de gaz lacrymogène, plaqué au sol et menotté. Le Défenseur~(...)~
~(...)~ préfecture, les policiers l'auraient ensuite aspergé de gaz lacrymogène pour ne pas être contaminés par ses~(...)~
~(...)~’adolescent de 14 ans l’avait aspergé de gaz lacrymogène. La présomption de légitime défense : légaliser les~(...)~
~(...)~ fait pas exception, et dégénère en affrontements. Les gaz lacrymogène pleuvent, des vitrines sont brisées, des magasins~(...)~
~(...)~ en 20 minutes. Leurs moteurs explosaient et du gaz fréon ou de l'ammoniaque s’en échappaient~(...)~
~(...)~ une intervention policière. Il a été aspergé de gaz lacrymogène et électrocuté de 17 coups de Taser~(...)~