Allô Bercy - page 50

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Ça bouge !

Prix Pinocchio 2014 des multinationales : le vote est lancé !

Quelles entreprises se soucient le moins de leurs impacts environnementaux ? Quelles multinationales tiennent les discours les plus trompeurs sur leur responsabilité sociétale ? Les Amis de la Terre France, en partenariat avec le Crid et Peuples Solidaires-ActionAid France, lancent aujourd’hui le vote des Prix Pinocchio. Un événement qui vise à attirer l’attention sur les pratiques des multinationales et à réclamer un encadrement juridique contraignant. Basta! et l’Observatoire des multinationales sont également partenaires du Prix Pinocchio.

Par Collectif

ÉcologieRessource en eau

Gaz de schiste : comment la multinationale Shell fracture la planète à tout va

Ukraine, Patagonie, Afrique du Sud, Tunisie… Le pétrolier Shell investit tous azimuts pour trouver du gaz de schiste et des hydrocarbures non conventionnels. Cette quête effrénée d’un nouvel eldorado pétrolier risque d’avoir de lourdes conséquences environnementales, en particulier sur les ressources en eau, menacées de surexploitation et de pollutions. La multinationale anglo-néerlandaise est d’ailleurs nominée comme « l’entreprise la plus agressive en terme de destruction des ressources naturelles » lors des prix Pinocchio 2014 qui « récompensent » les entreprises « en totale contradiction avec le concept de développement durable ».

Par Olivier Petitjean (Observatoire des multinationales)

SociétéInégalité

Coupures d’eau : comment les multinationales ignorent délibérément la loi

Près de deux millions de personnes en France ne disposent pas d’un accès suffisant à l’eau, du fait de leur situation précaire… ou des pratiques illégales de leur fournisseur. Bien que les coupures d’eau soient interdites depuis un an, les compagnies en charge de ce service – Veolia et Suez en tête – ne semblent pas pressées de respecter une loi qui va à l’encontre d’habitudes commerciales bien établies. La société civile se mobilise pour les obliger à respecter les nouvelles dispositions légales, au besoin en saisissant la justice, et à renforcer la reconnaissance officielle du droit à l’eau en France. Un droit dont sont encore privés des dizaines de milliers de sans domiciles.

Par Olivier Petitjean (Observatoire des multinationales)