En première ligne mais « invisibles » : les animateurs en grève pour la reconnaissance de leur métier
~(...)~horaires découpés en accueil périscolaire, je gagne 600 euros par mois, souffle Anaïs. Pendant quelques mois ~(...)~ accueils périscolaires organisé par les villes en 2016 a également très mal été vécue par ~(...)~